1. 0214 Nuit torride et douce à la fois.


    Datte: 12/11/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    Cet épisode a été écrit en écoutant en boucle l’album « Ladies and Gentlemen… the best of de George Michael », et notamment le disque « For the heart ».
    
    De retour à la petite maison après la magnifique soirée en compagnie des cavaliers de l’ABCR, mon bobrun me plaque direct face contre mur et dégrafe mon pantalon de cheval. Je sens son souffle brûlant et alcoolisé sur mon cou. Je sens son envie, pressante, sauvage. Je la ressens dans ses gestes précipités, témoignant de l’urgence de son désir, et aussi de son état d’esprit, désinhibé par l’ivresse. Je sais à quel point l’alcool peut rendre mon bobrun sexuellement déchaîné. J’ai hâte de découvrir ce qu’il me réserve ce soir. Comment il va prendre son pied. Quelles vont être ses attitudes. Comment il va me secouer. La proximité de sa virilité en surchauffe m’excite au plus haut point.
    
    Ses mains fébriles descendent mon pantalon, ouvrent le sien, son gland fait des va-et-vient lents et appuyés sur le coton de mon boxer. Mon excitation s’envole vers des sommets vertigineux.
    
    Très vite, ses mains font glisser mon boxer le long de mes cuisses. Puis, elles passent sous mon t-shirt et s’en vont exciter mes tétons Son corps plaque et enveloppe le mien de toute sa puissance, son gland entreprend de faire de nouveaux va-et-vient dans ma raie.
    
    « J'ai envie de toi… » je l’entends me chuchoter à l’oreille.
    
    « C’est moi qui ai envie de toi, comme un fou » je lâche, comme une délivrance.
    
    « Tu veux ma queue, hein ? ».
    
    « Je ...
    ... la veux, oui ».
    
    Et ce disant, Jérém retire ses mains de mes tétons. Je l’entends cracher, je sens ses doigts lubrifier et travailler brièvement mon trou. Un instant plus tard, sa queue glisse lentement en moi.
    
    La position, debout, face au mur, la pénétration directe, la précipitation et l’urgence de ses mouvements, son excitation extrême, son souffle excité dans mon cou : son attitude n’est pas sans me rappeler celle qui avait été la sienne lors de notre arrivé à l’appart de la rue de la Colombette après le bac philo, après que je l’avais bien chauffé pendant toute la durée de l’épreuve…
    
    Et tant pis pour mon fantasme de le sucer à genoux, dans cette tenue, dans ce maillot si sexy. A cet instant précis, enveloppé et envahi par la mâlitude de mon bobrun, j’ai trop envie de me faire bien secouer et remplir.
    
    Car mon bobrun sait parfaitement comment toucher mes cordes sensibles. D’autant plus que ce soir ses réflexes de mâle dominant reviennent avec l’alcool. Ses mots, ses attitudes ne sont pas sans rappeler certaines baises torrides de la rue de la Colombette, des « révisions » pendant lesquelles je ne me sentais rien d’autre que son vide-couilles.
    
    Mais à une grande nuance près : entre deux mots crus, entre deux gestes bien déterminés et directif, le Jérém d’aujourd’hui ne peut s’empêcher de poser des baiser dans mon cou, à la fois bien excités et tout doux. Le nouveau Jérém, la queue enfoncée en moi jusqu’à la garde, me caresse, me serre dans ses bras et me lance ...
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