1. 0214 Nuit torride et douce à la fois.


    Datte: 12/11/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... insatiables me rendent le plus heureux des mecs.
    
    Jérém se redresse. Mes chevilles toujours sur ses épaules, il commence à me pilonner lentement. Mais très vite la machine virile monte en régime, ses va-et-vient se font plus rapides, plus amples. Ses couilles frappent lourdement mon entrejambe, et c’est super excitant.
    
    C’est bon et c’est beau. Regarder mon bobrun en train de me faire l’amour, voir son corps tout entier osciller au gré de ses coups de reins, c’est un spectacle époustouflant. Mon regard est aimanté par son torse droit comme un « I » légèrement penché en arrière, faisant ressortir de façon encore plus impressionnante son cou massif, ses pecs et ses abdos, le galbe de ses épaules et de ses biceps. Mon regard est hypnotisé par sa chaînette posée sur sa peau délicieusement mate, par son adorable grain de beauté, par ses tatouages, par ses cheveux bruns en bataille, et par sa belle petite gueule violemment balayée par la tempête du plaisir.
    
    Mes mains ne sont pas moins aimantées que mon regard, et elles ne se privent pas de tâter le muscle ferme et puissant, comme pour me convaincre que tout cela est bien réel.
    
    A un moment, le bobrun s’allonge sur moi, m’embrasse fougueusement.
    
    « C’est trop bon » je l’entends chuchoter à mon oreille, alors que ses coups de reins se sont soudainement arrêtés et que son corps est complètement abandonné sur le mien.
    
    « M’en parle pas, c’est fou tellement c’est bon ».
    
    Dans mon for intérieur, je me dis que ce qui est ...
    ... bon par-dessus tout, c’est de l’entendre admettre cela, avec ce ton dans la voix, le ton d’un petit gars amoureux, presque assommé par la plaisir. Ce qui est bon par-dessus tout, c’est de sentir sa douceur, sa tendresse, sa bienveillance, sa sensibilité enfin laissées paraître au grand jour.
    
    Je le serre très fort dans mes bras et je le couvre de bisous. Sa peau mate est très chaude et moite de transpiration. Sa queue toujours en moi, son corps sur le mien, mes bras autour de son torse puissant, je me sens bien, en sécurité, en communion totale avec le gars que j’aime. Nous nous apprivoisons un peu plus à chaque instant, nous nous appartenons un peu plus à chaque instant. J’ai l’impression qu’une sorte d’énergie circule en boucle entre nos deux corps et que nous ne faisons plus qu’un.
    
    Après une petite pause, le bogoss relève son buste, juste ce qu’il faut pour m’embrasser. Je lui rends ses bisous, mes lèvres sont tout aussi gourmandes que les siennes.
    
    C’est bon de faire l’amour devant la cheminée, d’entendre les petits bruits de l’amour se mélanger au crépitement du feu.
    
    Le bobrun se redresse, il recommence à me limer. Dans la faible lumière mouvante émise par le feu de cheminé, je regarde ce corps magnifique se diriger tout droit vers l’orgasme. Je me dis que mon bobrun a beau avoir changé d’attitude pendant l’amour, qu’il a beau avoir laissé son côté petit macho au placard pour se glisser dans la peau de ce nouveau Jérém, sensuel et attentionné qui me fait l’amour, ...
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