Rien ne se serait passé s'il y avait eu des sacs...
Datte: 11/11/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
couple,
inconnu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
occasion,
couple+h,
Auteur: Sexanapascal, Source: Revebebe
... famille. Je fais la différence entre faire l’amour et une partie de baise. Mais là, j’avoue que je ne m’y attendais pas ! Veux-tu que je te laisse seule avec ce Nicolas ? Veux-tu que je reste, ou veux-tu arrêter ?
— Je ne sais pas, c’était si envoûtant et puis maintenant que tu es là, le pauvre, il va vouloir partir je crois…
— Je m’occupe de cela. Installez-vous dans le salon, j’arrive de suite.
Pascal, mon mari, sort de la maison sous un tonitruant :
— Je reviens !
Quant à moi, sans dire à Nicolas que Pascal savait tout, je nous installe dans le salon, lui demandant s’il est pressé.
— C’est-à-dire que je ne voudrais pas à avoir à subir la fureur de votre mari alors je crois que je vais partir maintenant… Désolé pour tout ça… Je…
— Non, monsieur Nicolas…
— Heu ! Juste Nicolas.
— OK ! Nicolas, si vous partez, il va se douter de quelque chose, c’est sûr.
Sur ces mots Pascal entre de nouveau dans la maison et s’assied avec nous.
— J’ai dû aller au distributeur d’à coté, je suis désolé. Bon, où en étions nous ? Ah oui, vous êtes Nicolas ! Moi c’est Pascal, le mari d’Ana… Alors, mis à part le sauvetage fruitier et l’observation de nibards accidentellement dénudés que faites-vous dans le coin ? Vous êtes nouveau au village ?
— Heu non, je suis juste de passage. Je suis venu voir un nouveau client pas très loin d’ici et je me suis arrêté pour acheter de quoi me faire un sandwich à défaut de trouver un restaurant qui serve encore à cette heure.
— Et vous ...
... avez d’autres clients à voir aujourd’hui ?
— Heu, non, j’ai le reste de ma journée.
— Eh bien nous avons de la chance d’avoir des boulots qui nous laissent le temps de respirer, n’est ce pas chérie ? Mais cela veut dire que vous avez le temps de finir ce que vous faisiez avant que j’arrive et je ne parle pas du café bien sûr !
Je deviens écarlate et le pauvre Nicolas est K.O. debout. Il balbutie :
— Je ne comprends pas Monsieur, ce que vous dites par là…
Pascal ouvre mon cache-cœur, sort mes seins et, tout en les caressant :
— Il ne faut jamais laisser une femme se refroidir et j’ai bien vu que la mienne était très chaude à mon arrivée. Regardez comme ses seins sont excités à l’idée de reprendre où vous en étiez. Et puisque vous avez le temps, alors…
— Cela me gène, monsieur.
Alors, à ce moment, je dis à Nicolas de s’approcher. Il hésite et, bien que je sois pelotée par mon mari, c’est ce dernier que Nicolas regarde avec une crainte visible dans le regard. Quant à moi, cette situation m’excite terriblement et, contrairement au début de cette histoire, je décide de ne plus être passive et de devenir le chef d’orchestre de la suite.
J’embrasse passionnément Pascal, lui caressant le sexe au travers de son pantalon, puis je me lève le torse nu, ne portant que mon redresse-seins. Je m’approche de Nicolas et je me penche vers lui pour que mes seins lui touchent le visage. Je lui caresse les lèvres avec les tétons puis, m’agenouillant devant lui, je déboutonne de ...