1. Rien ne se serait passé s'il y avait eu des sacs...


    Datte: 11/11/2020, Catégories: fh, fhh, couple, inconnu, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, occasion, couple+h, Auteur: Sexanapascal, Source: Revebebe

    ... et mes tétons tendus à l’extrême par l’excitation de la situation. Et voilà un heureux de plus, du moins pour aujourd’hui.
    
    Ma bonne action faite, je me dirige à la caisse et, entre deux « bips », je demande à la caissière un sac pour y mettre mes emplettes. Mais en vain : plus de sacs, ni en libre-service, ni payant. Elle me donne un carton vide, en guise de réceptacle, que je remplis. Je paie puis me dirige vers la sortie en laissant un petit sourire à mon voyeur qui passe derrière moi à la caisse, et qui signifie :
    
    — Je sais ce que tu as vu…
    
    Je retourne à mon domicile, à deux pas du magasin, chargée de ce carton qui me paraît peu fiable. Quand, à la porte de la maison, ce dernier cède par le fond et étale son contenu sur le trottoir. Je vocifère quelques mots non répétables ici, puis me décide à ramasser le tout, après avoir ouvert ma porte d’entrée pour y mettre en vrac, au fur et à mesure, ce que je ramasse.
    
    Et si j’ai oublié, sur l’instant, que mon cache-cœur n’est plus fermé correctement, mon voyeur sortant du magasin à cet instant doit, quant à lui, s’en souvenir parfaitement. Je suppose que l’aide qu’il m’offre alors est mue par l’envie d’en voir un peu plus. Cependant, à cet instant, moi je ne vois qu’une main secourable, bien venue, surtout pour ramasser les oranges qui, de par leurs formes, avaient pris des directions toutes opposées.
    
    Les denrées sont maintenant étalées dans mon entrée. Je remplis mes bras de ces dernières et demande à mon « ...
    ... voyeur-sauveur » s’il peut en faire autant et pousser son aide jusqu’à ma cuisine. Il s’exécute, poussant même la délicatesse jusqu’à refermer la porte du talon.
    
    Nous voilà donc dans ma cuisine et, dès que nos bras sont vides, je le remercie. Puisque c’est le début de l’après midi, je propose à mon invité de prendre un petit café avec moi. Il accepte et je mets en route la cafetière. Je lui propose de s’asseoir et, dans un long soupir du genre «Je suis bien contente que mon calvaire soit enfin fini», je m’assieds de même.
    
    Et là, c’est un grand moment de solitude, car je découvre que mon sein droit est complètement dévêtu et que mon partenaire de café a du mal à me regarder dans les yeux. Je m’en sors par un :
    
    — Oups ! Désolé ! Ils ne restent jamais en place, ceux là !
    
    En refermant mon haut, tout en allant chercher le café, je resserre mon cache-cœur puis reviens, les tasses d’une main et la cafetière de l’autre.
    
    Je pose puis remplis la tasse de mon voyeur, de même pour la mienne et je me réinstalle en face de mon invité. En touillant mon café j’essaye de créer une ébauche de conversation mais en vain, mon voisin de café reste pensif. Puis, comme un coup de fusil, me lance un :
    
    — Je suis déçu !
    — Mais de quoi donc, dis-je
    — Bien moi, je l’aimais bien ce sein.
    — Il est toujours là, vous savez, mais caché, comme il se doit.
    — Mais je crois qu’il ne veut pas être caché car il essaye toujours de sortir comme au magasin, dans la rue et tout à l’heure, à cette même ...
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