Rien ne se serait passé s'il y avait eu des sacs...
Datte: 11/11/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
couple,
inconnu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
occasion,
couple+h,
Auteur: Sexanapascal, Source: Revebebe
... invité, refusant ses demandes de fellation, surtout sans protection, on ne sait jamais.
Alors que mon « voyeur-sauveur-tripoteur » s’en donne à cœur joie, il est surpris puis pris de panique en entendant la porte d’entrée s’ouvrir, accompagnée d’un grave et fort :
— Chérie, je rentre plus tôt, où es-tu ?
C’est mon époux qui, dès qu’il le peut, finit son travail plus tôt.
— Ça sent le café ! Tu m’en sers une tasse, le temps que je me déchausse ?
Mon invité surprise est paniqué. En nous rhabillant, je lui demande de se calmer et lui dit que mon mari est un être très compréhensif. Il espère réellement que ça soit véridique surtout quand ce dernier fait irruption dans la salle à manger avec son mètre quatre-vingt, ses cent dix kilos et ce regard intimidant que possèdent les mâles dominants.
— Bonjour mon amour. Tu rentres tôt, aujourd’hui ?
— Et oui, mais quand j’ai plus rien à faire, je suis aussi bien ici
Et, se tournant vers l’inconnu qui essaye de se cacher derrière sa tasse à café.
— Tu ne me présentes pas ton invité ?
— Si, si, bien sûr, je te présente l’homme qui a sauvé mes courses, victimes d’un carton peu résistant. Monsieur… ?
À cet instant je réalise que j’ai branlé un homme dont je ne connaissais pas le nom.
— Nicolas, je m’appelle Nicolas, mais je ne suis en rien un sauveur, votre femme exagère.
Et là, sans réfléchir je sors une énormité :
— Oh si ! Vous êtes un sauveur, vous avez empêché la fugue de mes oranges ainsi que celle ...
... de mes seins.
Et là, un silence pesant se fait sentir mais mon mari, dont la perspicacité est impressionnante, a relâché la pression avec ces simples mots :
— Tu as encore remis ce cache-cœur qui laisse sortir tes seins à chaque fois qu’il se desserre ? Tu dois le faire exprès. En tout cas, j’espère que monsieur Nicolas en a bien profité ! Cela t’apprendra, tiens !
Suite à ses mots, il me rejoint dans la cuisine où j’étais partie lui réchauffer son café et me demande de lui raconter brièvement ce qui s’est passé, à l’abri des oreilles de Nicolas. Chose que je fais. Mon mari me prend dans ses bras comme pour me rassurer et me faire comprendre que cela n’est pas grave puis il me sourit et me répète ce qu’il m’avait déjà dit auparavant, mais ce jour cela prend tout son sens :
— Le jour où je t’ai épousée, de toi je n’ai pris que les sentiments en te donnant les miens en échange. Tout le reste, qui fait de toi que tu sois toi, t’appartient et sans limites. Tes envies, tes désirs, tes phantasmes, voire même tes pulsions te sont propres. Si tu me les fais partager alors tant mieux pour moi, sinon pourquoi devrais-je te les interdire et de quel droit ? Notre mariage n’est pas une prison pour ton corps et ramener notre histoire commune à une histoire de fesses serait réducteur. Pour être trivial, ton cul t’appartient et tu en fais ce que tu veux. Moi je ne veux et ne souhaite que l’exclusivité de ton amour, le reste je m’en fous, tant que cela se fait en respectant notre ...