Rien ne se serait passé s'il y avait eu des sacs...
Datte: 11/11/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
couple,
inconnu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
occasion,
couple+h,
Auteur: Sexanapascal, Source: Revebebe
Je lis quelquefois vos histoires ou plutôt c’est mon mari qui me les fait lire. Je dois avouer que certaines sont pleines d’intérêt. Alors je me lance, pour faire comme vos écrivains en devenir, en vous faisant part d’une partie de notre vie.
D’abord une petite réflexion : «rien ne ce serait passé s’il y avait eu des sacs à la caisse». Cela semble énigmatique au premier abord mais tout prendra un sens par la suite…
Avant de continuer, il me semble que je dois respecter la règle de la description de ma personne : je m’appelle Ana et je vis avec mes enfants et mon mari dans une petite ville de la région du centre.
Du haut de mes quarante-et-un ans, j’ai une vie très agréable et pleine d’amour.
Sous l’impulsion de mon mari, mes quinze années de mariage ont fait de la prude jeune fille que j’étais, une amante avide, pratiquant tout ce que deux adultes consentants et fidèles, de sexes opposés, peuvent imaginer.
Le seul bémol à ce tableau idyllique, c’est que deux grossesses et le temps me rappellent à leur souvenir par la présence de quelques kilogrammes en trop. Mais mon type latin (espagnol) et surtout mon quatre-vingt-quinze D me permettent de rendre invisible ce petit souci de poids, commun à beaucoup de femmes de mon âge. Je précise aussi que mon mari aime que les gens se retournent sur moi donc, comme je suis légèrement exhibitionniste, je m’habille assez sexy mais toujours très correct.
Tout commence un après-midi. Je viens d’amener mes enfants à l’école ...
... et, sur la route du retour, je passe à la superette de notre village pour quelques courses. Je prends un panier en entrant et déambule entre les rayons. Je saisis ce dont j’ai besoin, remplis mon panier, enfin rien d’extraordinaire, si ce n’est la présence d’un homme dans les trente-cinq, quarante ans dont je croise plusieurs fois le regard, un regard qui essaye maladroitement de voir ce qui se trouve dans le décolleté de mon cache-cœur. Cela m’amuse énormément et je pense à mon époux qui, dans ces moments-là, m’aurait dit :
— Regarde cet homme, tu lui égayes sa journée, alors fais un petit effort pour la lui rendre inoubliable…
Cela veut dire d’en montrer plus. Mais il n’est pas là, alors… et puis zut ! Cela m’amuse de voir les efforts de cet individu récompensés, alors je décide de lui montrer ce qu’il veut voir, mais discrètement, comme si cela n’était pas fait exprès.
Sous le prétexte de refaire le nœud de mon cache-cœur, je desserre ce dernier puis, chargée de mon panier, je vais au rayon des fruits et légumes. Je fais mine de tâter les produits en attendant que mon voyeur se mette en place face à moi. Je prends, en étal supérieur, un kilo d’oranges et, dès que je suis sûre qu’il ne va rien rater au spectacle, je me penche en avant pour saisir un sac de pommes de terre, dont je n’avais nul besoin, faisant bailler mon petit haut. Je présente ainsi, à la vue de tous, ma poitrine simplement contenue dans un redresse-seins qui ne cache rien et surtout pas mes aréoles ...