Le club J (6) - Histoires de Sexe

Le club J (6)

... attendit la réponse de sa mère.

— Je comprends, dit-elle enfin d’un ton calme. Je vais me coucher. A demain.

Elle laissa son fils décontenancé devant sa réaction étonnamment conciliante. Puis, satisfait d’avoir convaincu, le jeune homme rejoignit son propre lit.

Mais la victoire morale du jeune homme fut bien courte et ses pulsions refoulées l’assaillirent à la nuit tombée. Il rêva de sa mère nue, offerte et généreusement engluée de son sperme et se masturba violemment plusieurs fois, mais jamais il ne parvint à apaiser la tension indomptable de son désir. Quand le soleil levant éclaira sa chambre de sa lumière blafarde, il était dans un état fiévreux, trépignant et irritable. Il entendit les pieds nus de Jeanne se diriger vers la salle de bain pour une douche matinale. Il se leva et, dédaignant ses vêtements, sortit de la chambre complètement nu. Sans vraiment y réfléchir, il se retrouva devant la salle de bain. Il poussa la porte perpétuellement ouverte.

Sa mère, debout dans la cabine de douche, le regardait alors que l’eau ruisselait sur elle. Elle se savonnait lentement, trop lentement pour de banales ablutions matinales, en insistant inutilement sur les zones désirables de son corps splendide. David contempla longuement l’anatomie maternelle, sans aucune gêne, rien que le plaisir esthétique. Le regard de Jeanne semblait l’inviter à renoncer à toute retenue et à assouvir les pulsions qu’ils partageaient. Il savait que son propre regard était le miroir de ...

... celui de sa mère. Il savait aussi que son petit soldat casqué de peau était au garde-à-vous, et fin prêt pour la bataille. Il s’avança.

Jeanne lui sourit alors qu’il ouvrait le panneau vitré de la cabine de douche et entrait. Comme la baignoire, la douche était bien trop grande, à moins que l’architecte eût considéré dans ses plans un usage plus social et remuant à cette pièce. Après avoir fermé la porte derrière lui, le fils et la mère auraient pu se doucher l’un à côté de l’autre sans se rentrer dedans. Mais telles n’étaient pas du tout leurs intentions. David rejoignit la femme sous le jet d’eau. Il lui sut gré; qu’elle ne lui fît pas remarquer qu’il avait vite changé d’avis. Elle lui passa les bras au cou et l’embrassa longuement avec la langue. Il posa les mains sur ses hanches et, comme l’intensité du baiser montait, il descendit vers les fesses maternelles. Il caressa le galbe superbe et pétrit le derrière ferme et doux.

Flattée du soudain engouement de son fils pour son fessier, qu’elle reconnaissait fort attirant, Jeanne mit fin au baiser et se retourna pour l’offrir à ses jeunes mains. Il contempla et passa ses mains sur la superbe rotondité ruisselante d’eau. Ecartant les jambes et se penchant en avant en s’appuyant sur les parois, elle l’invita à poursuivre ses attouchements. Son fils répondit à l’incitation en massant fiévreusement et en palpant la chair ferme, puis une main un peu plus courageuse s’aventura entre les globes charnus, vers la vulve offerte. Elle ...