Le club J (6) - Histoires de Sexe

Le club J (6)

... sourit et ferma les yeux quand les doigts caressèrent timidement l’abricot maternel qui se mit vite à mouiller. David se sentit encouragé par la moiteur de sa mère et glissa son doigt entre les grandes lèvres pour exciter le clitoris.

Jeanne était ravie de l’audace de son fils qu’elle récompensa en se cambrant de manière excessive pour ouvrir encore un peu plus l’accès à son sanctuaire. David saisit l’appel implicite et glissa doucement un doigt dans la chatte de sa mère qui manifesta son accord par un profond soupir. Il la doigta lentement et apprécia la douceur et la chaleur de son vagin. Il accéléra doucement et ajouta un doigt, initiative que Jeanne salua d’un frisson de délice. Les bruits mouillés des doigts du jeune homme alternaient avec les soupirs de sa mère qui accompagnait les pénétrations de petites impulsions de ses hanches.

David retira ses doigts et colla son bassin contre la croupe de sa callipyge mère et, tendant les bras, il prit dans ses mains les seins magnifiques. Jeanne se redressa pour faciliter les caresses de son fils et frotta ses fesses contre son bassin. Le jeune homme se pencha légèrement pour coller son buste contre le dos de sa mère qui tendit une main derrière elle pour la passer dans les cheveux de son fils. Elle tourna la tête vers l’arrière et ils s’embrassèrent longuement. Le doux frottement de ses fesses excitait gravement le jeune homme qui lui pétrissait de plus en plus intensément les seins. Dans une posture inconfortable, elle ...

... mit fin au baiser et dit dans un soupir :

— Baise-moi.

Et elle se pencha à nouveau vers l’avant pour lui ouvrir sa chatte. Diablement échauffé par l’invitation plus qu’explicite, David prit dans sa main sa queue gonflée et frotta son gland sur la chatte trempée. Sa mère gloussa d’aise et se lécha les babines. Retenant son souffle, il appuya tout doucement et repoussa les lèvres comme des rideaux dissimulant le Saint des Saints dans lequel il était cordialement invité. Médusé devant sa propre audace, il contempla son glaive de chair s’enfoncer centimètre par centimètre dans le corps de sa mère. Quand son chibre fut entièrement emmanché et que son bas-ventre toucha les fesses de Jeanne, il reprit son souffle et savoura la sensation délicieuse, l’interdit.

Haletant, il agrippa les hanches fermes de sa mère et retira lentement sa queue luisante de cyprine maternelle, puis il la pénétra à nouveau, un peu plus vite.

— J’aime ton cul, Maman, soupira-t-il.

Il sentit un intense frisson d’excitation parcourir le corps de Jeanne à l’instant où il prononçait ces mots. Elle posa deux doigts sur son clitoris et décrivit de petits cercles. David, désireux de prolonger le plaisir, mais aussi inquiet de finir trop vite, accéléra tout doucement ses coups de reins. Prenant son élan, il prenait un grand plaisir à claquer son abdomen sur les fesses de sa mère en faisant gigoter la chair adipeuse, de manière aussi comique que stimulante. Jeanne calquait le rythme de ses doigts sur ...