1. Le club J (6)


    Datte: 10/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: ALemurier, Source: Xstory

    ... chibre, tant par l’avant que par l’arrière. Son cerveau resta engourdi par l’excitation jusqu’à ce que sa mère se relevât. Dédaignant le peignoir et ignorant son fils pétrifié de fébrilité sexuelle, elle sortit d’un pas calme.
    
    Reprenant ses esprits, celui-ci se maudit de sa négligence en remarquant que son érection avait tellement poussé qu’elle dépassait insolemment du bain, impossible à ignorer. Penaud, il sortit de la baignoire et la vida. Incapable de passer un pantalon, il prit son membre en main et se masturba rapidement en pensant à Carla à cheval sur lui. Mais Jeanne se substitua très vite à la belle rousse et il éjacula sur le carrelage en gémissant répétitivement « Maman ». Toujours honteux, mais apaisé, il nettoya sa souillure et quitta la pièce après s’être habillé.
    
    Le reste de la journée passa comme un rêve étrange et cotonneux. Sa mère avait quitté la maison peu après s’être donnée en spectacle. Un papier portant son écriture soignée et posée sur la table du salon annonçait qu’elle était partie au cinéma assister à une interminable rétrospective d’un obscur auteur, son petit jardin secret depuis de nombreuses années. Elle avait laissé pour son fils une part de ses fameuses lasagnes en guise de dîner. Il passa la soirée devant un film distrayant, mais oubliable et se coucha assez tôt. La chaleur était encore trop forte pour s’endormir paisiblement et il tournait et se retournait dans son lit sans trouver le sommeil jusqu’au retour de sa mère.
    
    La ...
    ... serrure de la porte d’entrée cliqueta, le pas de Jeanne claqua jusqu’à ce qu’elle dépose ses chaussures, puis un pas léger bruissa dans l’escalier jusqu’au couloir menant aux chambres. David compta machinalement les cinq pas requis, mais le pas doux et souple ne s’arrêta pas et s’approcha de sa chambre. Quelques secondes plus tard, la silhouette élégante de Jeanne apparut dans l’encadrement de sa porte.
    
    — Tu dors, mon chou ? dit sa voix douce.
    
    — Non, Maman, il fait trop chaud.
    
    Il parlait d’une voix serrée, encore perturbé par la scène de la salle de bain.
    
    — C’est vrai; quelle canicule ! J’aime l’été, mais là, c’est plus supportable.
    
    David acquiesça. Il était déconcerté par le ton désinvolte de sa mère, comme si elle ne l’avait jamais provoqué devant le miroir de la salle de bain.
    
    — Dis-moi mon chou, ma chambre est mal exposée et il fait une chaleur infernale. Est-ce que je peux dormir ici cette nuit ?
    
    — D’accord, je vais descendre au salon.
    
    — Mais non, imbécile, répondit-elle en riant. Ton lit est bien assez grand.
    
    Il n’osa pas refuser, il avait trop peur qu’elle détectât son trouble et devinât la teneur honteuse de ses pensées de l’après-midi.
    
    Elle marcha vers le lit. Il distinguait maintenant ses vêtements, un chemisier bleu assez banal et une jupe grise démodée. Elle défit les boutons de son chemisier. La lumière de la Lune éclairait son torse et David eut tout le loisir d’admirer à nouveau sa très belle poitrine et son ventre. Les années avaient ...
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