La fessée de Suzon
Datte: 09/11/2020,
Catégories:
fh,
fhhh,
hplusag,
frousses,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
jeu,
fouetfesse,
Auteur: Fantasio, Source: Revebebe
... ample culotte de nylon noir, semi-transparent, dévoilant la fente sombre de son cul et les plis de sa chatte.
— Si vous le voulez bien. J’adore quand vos fesses sont aussi magnifiquement emballées.
Nous sommes arrivés au restaurant où Luigi, le patron, nous a accueillis avec son effusion méditerranéenne.
— Bonsoir Jacques, bonsoir mademoiselle… ?
— Suzon.
Elle n’a pas pu s’empêcher de rougir en découvrant le sourire du culophile transi se dessiner sur le visage de Luigi, tandis qu’il l’invitait à le précéder dans le couloir menant au petit salon où nous tenions nos réunions mensuelles.
Louis et André étaient déjà arrivés. Cent quarante ans à eux deux, mais arborant chacun une prestance quasi juvénile et une finesse d’esprit particulièrement aiguisée.
— Ah ! Suzon ! Vous voilà enfin ! Jacques nous a tellement parlé de vous que nous craignions de vous connaître par avance, mais je dois avouer que, malgré tout son talent, ses paroles ne sont pas parvenues à rendre hommage à votre éblouissante beauté.
— Vous êtes trop aimable, Monsieur Louis
— Louis, je vous en prie. Et lui, c’est André, et bientôt vous aurez l’occasion de rencontrer Eduardo, Richard et David. Je suis sûr que comme moi, ils tomberont sous le charme.
Elle s’est assise entre André et Louis et je me suis assis en face d’eux. Dix minutes plus tard, les autres convives nous avaient rejoints et nous étions réunis tous les sept autour d’une table ronde qui occupait les trois-quarts du petit ...
... salon.
Mes amis n’avaient d’yeux que pour Suzon et l’assaillaient de questions et de compliments. Je dois dire qu’elle m’a surpris par la désinvolture et l’esprit dont elle a su faire part en répondant à leurs commentaires pleins de sous-entendus. Elle était incontestablement à l’aise, ce qui m’a aussitôt rassuré.
— Je trouve particulièrement injuste que, pour un retard de quelques minutes, ni Edouardo, ni Richard, ni moi-même n’ayons eu l’occasion d’admirer ce trésor dont Jacques nous rebat les oreilles depuis deux mois.
— Vous voulez que je me lève ?
— Si ce n’est pas trop demander.
Suzon a éclaté de rire avant de se lever pour aller se dresser à quelques mètres de la table, les mains croisées derrière le dos, nous regardant tous les six avec le sourire espiègle d’une petite fille toute excitée à l’idée de se dévergonder. Puis, elle s’est retournée pour nous offrir le spectacle de son cul, dissimulé sous les volants de la robe et posé sur deux cuisses voluptueusement gainées de soie noire.
Nous sommes restés silencieux durant de longues secondes, contemplant ce magnifique séant, imaginant sa chaleur et sa douceur sous les frous-frous de la robe.
— … c’est bon là ?… vous en avez eu assez ?
— …
— Bon ! Un dernier rince-l’œil et on passe à table, ok ?
Elle a relevé la robe pour nous dévoiler enfin sa fascinante paire de fesses, moulée dans son filet de nylon qui emprisonnait voluptueusement les deux globes charnus. Je crois bien que je n’ai jamais vu mes amis ...