La fessée de Suzon - Histoires de Sexe

La fessée de Suzon

... extases devant l’admirable derrière de Suzon, j’ai attendu plus de deux mois avant de le leur amener.

Ce soir-là, j’ai eu du mal à m’endormir, comme un gamin avant un examen ou un premier rendez-vous. Je ne lui avais pas dit où je comptais l’emmener, et je m’angoissais par avance de sa réaction lorsqu’elle réaliserait. Quand j’ai sonné à la porte de son appartement le lendemain à dix-neuf heures, j’ai senti une énorme boule me nouer l’estomac et un frisson d’angoisse me parcourir l’échine.

— Bonsoir ! Entrez, je serai prête dans deux minutes.

Deux minutes qui ont duré un bon quart d’heure, alors qu’elle me paraissait déjà parfaitement prête lorsqu’elle m’avait ouvert la porte.

— Voilà ! Je vous plais ?

Je n’ai pas eu besoin de répondre car mon visage devait parler pour moi. Elle portait une petite robe rouge à volants, serrée autour de la taille, descendant à mi-cuisse, et dont le bustier sans bretelles enveloppait effrontément sa magnifique poitrine. Ses boucles ensoleillées retombaient sur ses épaules nues, et face à ses yeux brillant et son troublant sourire, j’ai eu envie de la déshabiller sur le champ et la garder toute la soirée pour moi seul.

— Vous ne dites rien ? Vous êtes plutôt loquace d’habitude.
— C’est-à-dire que… vous êtes si belle… je reste littéralement sans voix.
— Bon, ben vous me raconterez plus tard, si vous retrouvez votre voix.
— Il a quelque chose que je voudrais vous dire. Voyez-vous, les amis avec lesquels nous allons dîner ...

... partagent avec moi la passion pour…
— … pour les beaux timbres et la pêche à la ligne, c’est cela ?
— C’est cela, et j’ai déjà eu l’occasion d’évoquer avec eux ma plus belle découverte.
— Ah…

Un frisson d’angoisse a parcouru le corps de Suzon et un voile de panique a troublé son regard l’espace d’un instant. Je ne savais pas quoi dire. Je lui ai pris les mains, essayant de plonger mes yeux dans les siens pour la rassurer. Mais elle gardait son regard plongé sur son corsage, comme fascinée par le mouvement régulier de ses seins, oscillant au rythme de sa respiration nerveuse.

— Et à présent vous voulez m’exhiber devant eux, c’est cela ?

Elle avait relevé la tête, ses yeux brillants fixés dans les miens dans l’attente d’une réponse.

— Suzon, je vous ai déjà exprimé mille fois l’adoration que je porte à votre cul. Quel mal y a-t-il à ce que je veuille partager cette extase avec d’autres amoureux du cul ? Mais ne vous y trompez pas, si je partage avec eux l’évocation de votre cul, le choix d’en partager la jouissance n’appartient qu’à vous. Ce soir, comme toujours d’ailleurs.
— Vous voulez dire que je vais devoir passer la soirée à vous écouter parler de mon cul ? Charmante perspective !
— Ne soyez pas idiote, ni egocentrique, pour magnifique qu’il soit, votre joli cul n’est pas le seul au monde, vous savez.
— Bon d’accord, j’ai compris. Et celle-là, je la garde ?

J’ai éclaté de rire lorsqu’elle s’est retournée pour relever les volants de sa robe et dévoiler une ...