La fessée de Suzon
Datte: 09/11/2020,
Catégories:
fh,
fhhh,
hplusag,
frousses,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
jeu,
fouetfesse,
Auteur: Fantasio, Source: Revebebe
Après cette première découverte des plaisirs de la fessée, Suzon en est devenue une passionnée. À chacune de nos rencontres, elle s’arrangeait pour faire l’une ou l’autre bêtise ou pour essayer de me mettre en rogne. Je rentrais bien volontiers dans son jeu, la traitant de gamine maladroite, mal élevée ou stupide, et elle finissait invariablement par se retrouver allongée en travers de mes cuisses, offrant ses fesses frémissantes à une brûlante correction qu’elle attendait avec toujours plus impatience et d’excitation.
Il y a des culs de femme qui se prêtent plus que d’autres à l’art de la fessée. Si les culs discrets et osseux ont un certain charme, ils n’offrent qu’une surface réduite et peu sensuelle pour accueillir les claques. Leur peau rougit trop rapidement et la main, comme la fesse, s’endolorit bien trop vite. Les culs trop généreux souffrent quant à eux de leur ampleur. Ils s’agitent comiquement en tous sens à chaque impact. Leur énorme surface ne permet que difficilement de donner une couleur harmonieuse et homogène à l’ensemble. Enfin, l’imposante masse graisseuse ralentit la circulation des éclairs électriques vers la chatte, si bien que l’on doit s’y appliquer plus longtemps pour parvenir à un résultat satisfaisant, tant du point de vue esthétique qu’extatique.
Au hit-parade des culs « fessables », celui de Suzon mériterait sans conteste de se retrouver sur le podium. Sa rondeur parfaite, sa douceur de cul de bébé, sa souplesse tendre et ferme à la fois, ...
... en font un territoire idéal pour y claquer la main avec ardeur et enthousiasme. La rapidité et l’intensité avec laquelle son con s’inonde dès les premiers coups de battoir, augmentent encore le plaisir de nos délicieuses séances « fessetives ».
Pour être parfaitement réussie, la fessée doit offrir un parfait équilibre entre les préliminaires, la mise en œuvre et les caresses apaisantes qui terminent le cycle. Chacune de ces phases revêt une importance essentielle et je déteste par-dessus tout, ces soudards de la fessée, ces malpolis du cul, ces « fesseurs précoces » qui se précipitent, le battoir impatient, sans aucun respect pour ces collines charnues qu’ils s’apprêtent à violenter. Non, une bonne fessée ça se prépare ensemble, entre le fesseur et le fessé, comme un rituel bien réglé qui les conduit l’un et l’autre à l’extase.
Au début, Suzon ne comprenait pas pourquoi je refusais de la fesser alors qu’elle me le demandait avec dans les yeux autant que dans la voix, une excitation et une sensualité auxquelles il m’était parfois bien difficile de résister.
— Une fessée, ça ne se demande pas, ça se mérite ! Ça ne se donne pas comme ça, juste pour s’échauffer le cul, ce serait trop simple.
— Mais… ça me ferait tellement plaisir que vous m’en donniez une, là, tout de suite.
— À moi aussi, cela me ferait plaisir, mais le plaisir doit se mériter. Et là, pour le coup, je ne pense pas que vous l’ayez mérité.
Cela la mettait invariablement en colère, une colère rentrée ...