1. Un raton laveur au paradis


    Datte: 09/11/2020, Catégories: ffh, fbi, frousses, vacances, forêt, amour, Oral 69, pénétratio, fdanus, Humour québec, couplea3, nature, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... et Marie riaient comme des folles assises toutes les deux à côté de moi en épongeant mes nouvelles égratignures tandis que je grimaçais en me voyant étrangler ce maudit animal.
    
    — Ah ! fit Pierrette toute joyeuse en posant une serviette humide sur mon front. Y est pas mort !
    — J’en ai perdu un bout je pense.
    — Oui, Paul, répondit Marie tout sourire en me tamponnant le visage avec une ouate humide, en te battant avec le raton tu t’es cogné la tête sur le rebord de la table de pique-nique. T’as une autre belle bosse sur le front.
    — On pensait t’emmener à l’hôpital, mon petit Paul, fit Pierrette.
    — Non, ça va !
    — T’es sûr ? me demanda Marie penchée sur moi, ses seins glissant sur mon torse. Pis le tétanos ?
    — J’ai eu un rappel ce printemps, une mésaventure avec un autre animal dangereux.
    — On peut savoir lequel cette fois ?
    — Un écureuil mutant de Montréal.
    
    Encore des rires.
    
    — Y a une érection, lâcha Pierrette peu après, y est correct. Les animaux ne vous aiment pas, mon beau Paul qui bande tout le temps.
    — Non !
    
    La tante commença à me branler en s’étendant à côté de moi, j’en profitai pour glisser une main sur ses fesses, heureux de sentir son corps chaud et doux contre le mien, et pour poser mon autre main sur la hanche gauche de Marie.
    
    — Heureusement, on a trouvé une trousse de premiers soins sous le lavabo, fit celle-ci tout sourire en me montrant la ouate quelle tenait et un pot de peroxyde, tandis que je lui caressais un sein à présent. Ouais, tu ...
    ... te sens mieux, on dirait.
    
    Je me sentais effectivement et étrangement beaucoup mieux tout à coup.
    
    — Je vais m’occuper de toi, mon Paul, fit Pierrette langoureuse en me couvrant la joue gauche de baisers chatouilleux.
    — Pas question ! dit Marie exaspérée en déposant ce qu’elle tenait sur la petite table de chevet pour ensuite grimper à genoux par-dessus moi en tassant sa tante un peu et agripper ma bite elle aussi, mais entre ses cuisses. C’est à mon tour, ma tante, allez donc nager un peu.
    — Pas question, pis y va pleuvoir de toute façon ! répondit Pierrette.
    
    Elle frotta mon gland sur les fesses de Marie qui la regarda avec un petit sourire pincé en tirant sur ma pauvre bite pour la passer par-devant contre son pubis. Mais la tante la retira par-derrière comme si c’était un bras de vitesse. Ouf…
    
    — Lâche ça, Pierrette ! Par-devant.
    — Non bon ! Par-derrière.
    —Maudit, fit Marie. Encore par-devant.
    —Tabarouette ! objecta la tante. Et, oui, par-derrière.
    
    Mon pénis pliait en passant d’un côté à l’autre bien serré par deux belles petites mains. Elles riaient en changeant de vitesse et moi je grimaçais comme le malade que j’étais et bandé de plus en plus dur en plus.
    
    — Oui, Marie.
    — Non ! C’était la tante.
    — Houfff ! C’était moi.
    — Non. Encore Marie.
    
    « Outch ! » Ça, c’était encore moi, mais en pensée.
    
    — Par-derrière. Pierrette.
    — Ma tante,sacrement !
    — Eh ! fis-je finalement tandis qu’elles tiraient toujours ma bite d’un côté et de l’autre. C’est ...
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