1. Un raton laveur au paradis


    Datte: 09/11/2020, Catégories: ffh, fbi, frousses, vacances, forêt, amour, Oral 69, pénétratio, fdanus, Humour québec, couplea3, nature, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... sensible ça, mesdames.
    
    La serviette m’avait glissé sur les yeux, je l’enlevai et la jetai quelque part.
    
    Elles stoppèrent leurs petits jeux et se regardèrent en s’affrontant du regard en tenant toujours fermement ma bite toutes les deux. Puis elles rirent en me masturbant ensemble, moi je soupirai de soulagement en levant les yeux vers le plafond.
    
    Panique totale !
    
    Kato était là, perché sur une des grosses poutres qui soutenaient le toit juste au-dessus de moi et il me fixait méchamment, ce damné raton laveur.
    
    — Eh… Y est là, les filles.
    — Hum, fit Marie en pressant ma main qui caressait son sein tout en me regardant, qui ?
    — Kato !
    
    Elles suivirent mon regard en soulevant la tête toutes les deux et rirent.
    
    — Ça va, Paul, fit Pierrette, il est gentil finalement. Va bouffer, mon gros ! cria telle.
    
    Mais il ne bougea pas.
    
    — Bou-bouffe ! ordonna Marie avec sa belle voix éraillée.
    
    Kato se retourna aussitôt, sauta habilement sur la longue poutre qui faisait toute la longueur du chalet qu’il longea pour se laisser tomber sur la table, puis par terre, et il fila jusqu’à un bol près du poêle pour se mettre à manger quelque chose.
    
    — Un vrai petit chien, lui aussi, dit Pierrette avant d’éclater de rire tout en lâchant ma bite pour se faire un nœud dans les cheveux.
    — T’inquiète pas, Paul, fit Marie en glissant aussitôt mon pénis un peu échauffé en elle, bou-bouffe, Pierrette !
    
    Elle était mouillée à point, ma queue entra dans sa fente avec une ...
    ... facilité déconcertante. Je fermai les yeux de plaisir, juste un battement de cœur.
    
    — Bou-bouffe, mon œil ! fit la tante en se levant soudainement pour aller s’accroupir derrière sa nièce qui plissa aussitôt les yeux en arrondissant la bouche de surprise.
    
    Elle soupira en se penchant sur moi plaquant sa joue contre la mienne. Là, je pus voir par-dessus son long dos recourbé et son cul splendide que Pierrette lui léchait lacraque de fesses de haut en bas en me faisant un petit clin d’œil. Je sentis mon engin durcir plus, bien enfoncé jusqu’aux couilles dans le vagin humide.
    
    Pierrette était ultra-bandante les cheveux remontés comme ça. Elle me faisait penser à ces visages que l’on voyait sur les camées d’antan à l’époque victorienne.
    
    Ma jolie bombe rousse semblait grandement apprécier le petit coup de lèche en plus de ma bite en elle en commençant à onduler du bassin. Pierrette laissait sa langue courir sur ma hampe et mes couilles en revenant au cul de Marie ou sortait carrément mon gland du con détrempé pour me le sucer avidement avant de le remettre dans la fente juteuse.
    
    Doux Jésus ! J’en salivais à m’en étouffer.
    
    Kato, le ventre plein sans doute, fila se coucher sous le poêle et ferma les yeux.
    
    Par les fenêtres, je vis qu’il y avait une brume épaisse qui englobait la cabane et qu’une pluie fine commençait à tomber en crépitant sur le toit.
    
    C’est ça le paradis, faut pas chercher plus loin. Deux belles femmes à baiser en même temps, un bon lit, un toit sur la ...
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