1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (8)


    Datte: 07/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Solo92, Source: Xstory

    ... ses grandes lèvres. Ah, son con, son con d’amour ! Je l’écartèle de mes doigts, plonge ma langue dedans, au plus profond, pour y récupérer le plus possible de jus féminin. Et ce petit clitounet, perle de jouissance ! Si en me suçant Maman aime mordiller mon gland, je lui rends la pareille avec son clito, que je suçote, puis mords délicatement. Maman sursaute, comme si elle venait de recevoir une décharge électrique. Puis je repasse alternativement à ses poils, ses lèvres que j’étire, le gouffre de sa cramouille, puis son clito, etc.
    
    Ensuite, je remonte lentement son corps. A 52 ans cette année-là, son ventre est encore bien plat. Je titille son nombril du bout de la langue, puis je m’attaque à sa poitrine. Comment trouver de nouveaux qualificatifs ? Je les ai déjà tous épuisés, alors excusez-moi, mais il va y avoir redondance… Des seins GROS, LOURDS, FERMES, SOUPLES, DOUX, MOELLEUX ! Je vais embrasser, lécher, presser, étirer, mordiller, compresser, pincer très fort les tétons ! Maman va même devoir freiner mes ardeurs au bout d’un long moment de mauvais traitements.
    
    — Arrête, tu me fais mal maintenant !
    
    — Excuse-moi, mais tes seins sont tellement bandants !
    
    Je les écarte, enfouis mon visage entre eux, puis de ses mains, Maman les referme sur mes joues. Me voilà « prisonnier » de ses plus beaux atouts féminins. Dans ce cas, je veux bien être condamné à perpétuité…
    
    Je poursuis l’« escalade » du corps de ma Valérie adorée. Je dévore sa bouche, plonge mon regard ...
    ... dans ses yeux bleus au pouvoir hypnotisant. De mes lèvres, je ne néglige rien : la bouche de Maman, ses joues, son nez, son front. Je lui fais fermer ses yeux d’azur pour l’embrasser sur les paupières. Puis je reviens encore et toujours à sa bouche, qu’elle ouvre en grand pour y accueillir ma langue, y sentir couler ma salive. Maman je t’aime. Oh, « QUE JE T’AIME !! » Comme chantait un grand artiste qui vient de disparaître. Que nous soyons doux ou virulents dans nos actes, tendres ou très crus dans nos échanges verbaux, il y a toujours une constante : L’AMOUR !!
    
    Je suis à bout de résistance.
    
    — Maman chérie, je veux te prendre, je peux ?
    
    — Hé ! Pas encore, tu t’es occupé du côté face, il te reste le pile ! Après, tu feras de moi ce que tu voudras.
    
    Ah la garce ! Je la retourne sur le ventre. Toujours grâce au clair de lune, sa peau conserve un étonnant blanc de porcelaine. Je pose mes mains sur ses chevilles. Petit problème, je les sens granuleuses de sable. Alors, des talons à la nuque, je vais frotter l’intégralité de ce côté pile, afin d’en chasser tout le très fin sable qui s’y est collé. Un côté pile moins « riche » peut-être que le face, mais qui comporte aussi nombre d’endroits de paradis. Des chevilles fines, l’arrière des genoux puis des cuisses, que je vais intégralement honorer de ma langue. Et palper, tel un kiné. Un kiné… bien entreprenant s’il s’agissait d’un vrai ! L’action constante de mes mains a tout de la caresse plutôt que du massage. Je passe ...
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