1. Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (8)


    Datte: 07/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Solo92, Source: Xstory

    ... par-dessus les fesses, pour poser ma bouche dans le creux des reins de Maman. Qui s’inquiète alors :
    
    — Bah ! Et mon cul ? Tu l’oublies ?
    
    — Que non, je garde le meilleur pour la fin !... Elle rit.
    
    Le dos est trop souvent négligé dans les relations sexuelles. Mais un dos nu, lisse, doux, satiné, représente un pur bonheur à cajoler. Je dépose sur ce dos de rêve des dizaines de petits baisers mouillés, le caresse. Parfois, il m’arrive de le recouvrir de sperme, que j’aime voir partir en rigoles sur les flancs de son corps, mais ce ne sera pas le cas cette nuit-là. Des épaules rondes et feutrées, la nuque, si tendre à embrasser. Et les cheveux châtains dans lesquels j’aime aussi enfouir mon visage, eux aussi possèdent leur parfum, ils sont fins comme des fils de soie.
    
    Je redescends enfin plus bas, pour réserver mon final à ce merveilleux cul, fait pour l’amour. Avec cérémonie, je procède à une « imposition des mains » sur les belles fesses. Maman est bien pourvue côté popotin. Mais le terme de « grosses fesses » ne saurait s’appliquer, mais plutôt celui de « BONNES FESSES ». J’aime trop son cul, j’irais jusqu’à dire que je le vénère. C’est une œuvre d’art pour moi, qui n’a malheureusement inspiré aucun peintre ni sculpteur. A ceci près qu’une œuvre d’art se regarde sans être touchée, et que le cul de Maman lui, s’apprête à en voir de toutes les couleurs. La fessée, ce n’est pas notre truc. Mais comme tant de fois, combien de minutes vais-je passer à palper, malaxer ...
    ... ses fesses, les écarter, les refermer, et bien évidemment les embrasser, les lécher en totalité ! Tout comme ses seins, ses fesses sont à la fois fermes et souples. Parfois, dans la rue, les jours où Maman a décidé de se passer de culotte, je marche quelques pas derrière elle, avec le plaisir jouissif de voir son cul onduler lascivement sous sa jupe courte ou sa robe.
    
    Et dans les rues grouillantes de Paris, je ne suis pas le seul homme à suivre du regard cet érotique balancement… Que parfois Maman accentue volontairement ! Ce que l’on appelle trivialement « tourner du cul ».
    
    Mais revenons à cette nuit oléronaise. Ce « match », va s’achever par une séance de « tir au but » comme au foot. Le tir de ma langue… dans le but que constitue son petit trou. Je lèche déjà méticuleusement la totalité de sa raie culière, de sa chatte jusqu’à son coccyx. J’écarte ses fesses au maximum, masse d’abord son anus de mon index, puis l’embrasse, avec autant de passion que s’il s’agissait de sa bouche. Et enfin, je darde ma langue à l’intérieur, la tourne, l’enfonçant le plus loin possible. Maman émet un :
    
    — Hummm, comme c’est bon ta langue dans mon cul ! Bouffe-moi bien!
    
    Comme avec sa poitrine, je plonge mon visage dans sa raie, et referme ses fesses dessus. Le petit trou palpite sous l’action de ma langue, il est pris de spasmes. Et je lèche, lèche son anus, l’ensalivant le plus possible, pour le préparer à l’assaut plus que gaillard qu’il va subir. « Subir » n’étant du reste pas le ...
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