Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (8)
Datte: 07/11/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Solo92, Source: Xstory
... garçon !
Tout à ma branlette, les yeux perdus dans le ciel étoilé, je n’ai pas remarqué que Maman s’est réveillée, tournée vers moi, et que, visiblement, elle souhaite participer « activement » à mon petit jeu !
Enfin ! Ma coquine se réveille !
Sa main remplace donc la mienne sur ma bite. Maman sait comment j’aime être masturbé, pas trop vite, mais en serrant bien fort, ce qui a pour effet de provoquer un afflux de sang dans mon gland, prêt à exploser, tellement il est gonflé, tendu !
Elle me suce assez brièvement, car elle souhaite surtout que je m’occupe d’elle. Mais ma pine est maintenant suffisamment ruisselante de salive pour qu’elle puisse la pénétrer sans effort ni douleur.
Elle se lève, ôte son t-shirt et sa petite culotte. La voilà nue sur la plage à plus de 2 heures du matin !
— Reste allongé, j’ai un petit fantasme à assouvir.
— Quel fantasme ?
Debout à un mètre de moi, Maman écarte et fléchit un peu les jambes, et se caresse alors voluptueusement.
— Ah, comme c’est bon de se branler dehors, sur une plage, comme je rêverais de faire la même chose, ici, en plein jour, devant des gens, hummm !! lâche-t-elle.
— Crois-tu que ce serait raisonnable ?
— Non, bien sûr, mais ça me plairait de m’exhiber comme une salope, faire bander les baigneurs et peut-être même… mouiller les baigneuses !
Je vais décidément de surprise en surprise avec Maman, jamais elle ne m’avait laissé entendre un tel besoin d’exhibitionnisme. Je me masturbe tout ...
... en la regardant se toucher intimement tout en roulant du bassin de manière lascive. Son rêve semble-t-il réalisé, elle revient soudain au présent.
— Je t’ai donné satisfaction, petit voyeur, eh bien c’est à toi de t’occuper de moi à présent. Attention, aucune pénétration avant que je ne t’y autorise. Sers-toi uniquement de tes mains et de ta bouche, je te veux partout sur moi.
— Mais… je te baiserai quand même après ?
— J’en jugerai, si tu as bien « travaillé » !...
Alors, je m’atèle à la tâche, oh une tâche tout de même fort plaisante !...
Je commence par mon habituel léchage de pieds, qui ont acquis un petit goût salé, Maman ayant marché dans les vagues mourantes juste avant. En revanche, si le sable de la plage constitue un agréable « matelas », il m’apporte du désagrément en léchant Maman partout. Plusieurs fois il va me crisser sous les dents, de manière peu sympathique.
Je remonte lentement de la langue et des mains les jambes fines, les merveilleuses cuisses pleines, fermes, douces !...
Et que dire de la jolie chatte que j’atteins à présent ! De superbes grandes lèvres bien dessinées, proéminentes, charnues, suintantes de désir. J’enfouis ma tête dans le buisson touffu de ses poils. Des poils imprégnés de son odeur intime de femelle en chaleur, malgré l’hygiène stricte qu’a Maman. A grandes inspirations, je hume cette odeur suave, piquante, l’odeur de la FEMME, de la baiseuse. De la langue, je mouille et lisse les poils, avant d’ouvrir le rideau de ...