Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (8)
Datte: 07/11/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Solo92, Source: Xstory
... dans mon slip de bain. Bite au garde-à-vous ! Je contemple Maman, qui insère alors la main sous son maillot pour mieux se branler. Je baisse le mien, ma queue jaillit alors comme un diable de sa boîte, et, à l’air « libre », je commence à me palucher. Tout cela au soleil, dans le jardin, avec devant moi de paisibles champs à perte de vue, voilà qui n’est pas pour me déplaire.
Au bout d’un moment, Maman se redresse, jette un regard en direction de la maison où apparemment rien ne bouge. Elle quitte son transat, rampe jusqu’à moi, m’écarte un peu les jambes, s’infiltre entre elles, et prend ma bite dans sa main. Elle me branle brièvement, puis me suce avec amour, à fond, en gorge profonde. Je suis tellement en manque que je sais que je ne tiendrai pas longtemps. Cela vaut mieux du reste, car voilà très exactement une heure que nous avons débuté cette sieste, et les grands-parents, réglés comme du papier à musique ne vont pas tarder à reparaître. Je pourrais me satisfaire de cette pipe délicieuse et inattendue, mais cela ne suffit visiblement pas à ma belle Valérie. Elle vient se placer à califourchon au-dessus de moi, cuisses ouvertes en grand. Elle écarte juste l’entrejambe de son maillot et s’enfile sur ma bite d’un seul coup d’un seul ! Facile, sa chatte ruisselle de mouille…
Il lui faut décidément un « échantillonnage » complet, car après quelques vigoureuses allées et venues sur moi, elle se redresse, me tourne le dos, écarte maintenant son maillot d’entre ses ...
... fesses, et descend jusqu’à ce que son trou du cul se trouve au contact de mon gland. La mouille dont ma bite est enduite sert de lubrifiant, permettant à Maman de s’enculer elle-même, sans la moindre difficulté. Tout n’est certes pas parfait, elle me tourne le dos, se voit contrainte de conserver son maillot, et nous devons nous hâter de conclure nos galipettes. Mais après quatre jours de disette, ce que nous faisons est déjà merveilleux et inespéré. A la force des jambes, ses pieds nus posés sur la pelouse, Maman monte et descend quelques minutes sur ma bite, se l’enfonçant à chaque fois au plus profond de son cul adoré. Elle feule :
— Je jouiiiiiiiiiis !!...
Signal attendu pour déclencher ma salve, et quelle salve ! En nombre de giclées je ne sais plus, mais en quantité, je remplis littéralement les intestins de Maman d’une rivière de foutre, malgré ma petit éjac du matin dans la salle de bain.
J’ai à peine fini de me vider, que nous entendons les volets de la chambre grincer. Maman se détend comme un ressort, remet décemment en place l’entrejambe de son maillot. Mamy, suivie de papy nous rejoignent de suite sur la pelouse. Je ris intérieurement. Maman bavarde avec ses parents, alors qu’elle a encore dans les fesses les « litres » de sperme que j’y ai largués…
Papy paraît intrigué par la disposition de nos transats. Maman lui fournit la plus naturelle des explications :
— Tu sais, à Paris, nous ne voyons pas des champs tous les jours, alors, on en profite un max ...