Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme (8)
Datte: 07/11/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Solo92, Source: Xstory
... être dehors dans ce petit patelin, et la plage ne se trouve qu’à 500 mètres d’ici !...
A l’idée de voir Maman traverser le village si peu vêtue, je bande de suite dans mon short…
Nous allons très brièvement rouler sur la petite route nous conduisant à la plage, sans rencontrer âme qui vive.
Une fois sur la plage, nous laissons choir nos vélos. Maman ôte ses tennis pour marcher pieds nus sur le sable très doux. Nous gagnons peu discrètement le centre de la plage et nous asseyons. Valérie se tourne vers moi, m’enlace, puis m’embrasse langoureusement. Ça part bien ! Mais elle va se contenter de se blottir dans mes bras, en murmurant :
— Ce qu’on est bien ! Excellente idée mon amour ! Regarde ça, la mer, le ciel étoilé, le clair de lune, et rien que nous deux, c’est super, non ? Embrasse-moi encore mon chéri adoré !
Et nos bouches de se reprendre, se dévorer, nos langues et nos salives se mêler. Je me résignai. Cette nuit j’aurais droit à « Maman-tendresse », alors que j’aurais clairement préféré « Maman-putain »…
Elle est comme çà Maman. Tour à tour romantique à fond, ou quasiment nymphomane. Cela dit, je dois admettre que le moment et le lieu sont particulièrement propices à la rêverie.
Après ce bien innocent câlin, Maman s’allonge sur le sable, à ma droite. J’en fais de même. Dans mon champ de vision, un ciel merveilleusement étoilé. Maman se tourne sur le côté, visiblement désireuse de dormir. Le clair de lune donne à sa peau, surtout ses jambes ...
... entièrement dévoilées, une blancheur immaculée, presque irréelle. Ma bandaison me reprend.
Un coup d’œil à gauche, un coup d’œil à droite, personne d’autre sur la plage, parfait. Je commence par glisser une main dans mon short, pour me « branlocher » doucement. Notre totale solitude me permet de prendre un peu plus de risque, je baisse mon short sur mes cuisses, et commence une véritable masturbation. Comme souvent, j’enferme mes couilles dans ma main gauche, et les masse longuement, délicatement et fermement à la fois, les faisant rouler, juste à la frontière entre plaisir et douleur. Mes boules sont gonflées, bien dures, gorgées d’un sperme chaud qui ne demande qu’à jaillir, telle la lave d’un volcan, mais il ne faut pas aller trop vite en besogne !
Du pouce et de l’index de la main droite, j’astique lentement ma bite qui ne cesse de gagner en taille et raideur. Délaissant mes boules, l’index de ma main gauche se pose ensuite sur ma rondelle, que je masse en effectuant des petits cercles. Je suce mon doigt, puis me l’enfile dans le cul jusqu’à la racine, tout en accentuant ma branlette, cette fois à pleine main. A défaut d’une sauterie avec Maman, cette masturbation nocturne sur la plage est déjà plus qu’agréable. Je me doigte bien à fond, faisant tourner mon doigt dans mon cul. Ne me retenant plus, je me sens prêt à éjaculer.
Je sursaute alors, en sentant une main repousser la mienne, et enserrer ma queue !
— Et alors ?! C’est qu’il se ferait plaisir sans moi, le vilain ...