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Vacances romaines
Datte: 07/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou Première fois Hardcore, Auteur: sensualites, Source: xHamster
... taille, puis dénuda son cul superbe brillant de sueur pour le plaquer contre mon sexe encore luisant de sa salive. Un instant ma bite coulissa le long de la raie de son cul. La respiration de Nicole s’accélérait et s’intensifiait. Bientôt mon gland heurta l’étroit passage, massant bientôt la rosette délicieusement ornée dans ses replis d’un petit grain de beauté. Devant ce qu’elle pris pour de l’hésitation la femme d’Edouard me supplia encore "S’il te plait encule moi… je veux sentir ta bite dans le trou de mon cul… s’il te plait, baise-moi l’anus…" Cette fois -ci, Nicole avait perdue toute dignité, jusqu’à l’humiliation, sa beauté abandonnée s’offrait à moi toute entière. Sa croupe ondulait devant moi exhalant des odeurs félines. Sa féminité se dévoilait toute entière dans les courbes lascives de son corps parfait. C’est sans aucune retenue que je m’empalais dans son postérieur , limant avec vigueur sa part la plus intime, mes couilles claquant au creux du cul en saccades régulières. Son corps dont je malaxais les seins maintenant dans chaque main, ballotté d’avant en arrière était secoué de spasmes et de soubresauts. Ma bite brûlait de jouissance et de douleur en frottant violemment sa gaine de chair, et bientôt je lâchais ma semence dans son boyau fessier, le flot visqueux emplissant ses ...
... entrailles… Il y eu un bref moment de silence .. Je plaquais mon torse contre son dos… La sueur collait nos vêtements l’un à l’autre… Et puis un bruit dans le jardin nous intima de nous redresser et de gagner au plus vite le salon… Arrivés au bas des marches la porte s’ouvrit: Nicole et Edouard discutaient botanique… C’est alors qu’un détail m’interpella . La robe de satin de Carole était froissée vers le bas, et un fil trahissait une légère déchirure en haut de la fente latérale qui dévoila sa jambe… Mais ce qui me troubla plus encore c’est ce que je distinguais sur la surface du tissus noir près du bas-ventre de mon épouse… une auréole luisante à la forme précise dont la raison m’apparut d’évidence. J’étais interloqué et ne pu sans doute dissimuler un sentiment de stupeur car les joues de ma femme se mirent à rosir alors qu’elle baissait ses yeux face à l’insistance de mon regard. Je m’avançais alors vers elle, sortant de la pénombre… À nouveau elle leva les yeux vers moi… Son expression ainsi que celle d’Edouard changea alors brusquement. Je croyais y voir un mouvement de stupeur. C’est alors que je vis à mon tour la raison de tout cela. Sur ma chemise et le haut de mon pantalon de larges bandes de sueurs, dessinaient distinctement telle une empreinte, le contour des fesses et des reins de Nicole…