Vacances romaines
Datte: 07/11/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Première fois
Hardcore,
Auteur: sensualites, Source: xHamster
Nous étions à Rome ma femme Carole et moi depuis deux jours, avec un couple d’amis qui découvraient comme nous les charmes de la ville . La nuit était sur le point de tomber,en cet instant si délicieux ou succède à la chaleur étouffante de l’été, cette atmosphère adoucie par une brise légère… Nous étions assis tous les quatre à la terrasse d’un restaurant.
Ce qui dominait c’était ce calme serein, notre attention était à peine distraite par le murmure des conversations autour de nous.
Nos deux couples se faisaient face.
Nicole , la collègue de bureau de ma femme était tout à fait ravissante, le teint cuivrée en cette fin de vacances, elle semblait véritablement rayonner, le visage balayé par la lumière chaude de la bougie posée devant nous.
Son charme singulier n’avait guère à envier à celui des belles romaines. Elle semblait d’ailleurs chez elle ici. Ses yeux discrètement maquillés offraient à ma vue cette intense profondeur qui distingue les regards noirs intenses associés à une lueur secrète, ambiguë … Celle d’un visage irradié par la quête même du regard de l’autre.
Cette attention portée à mon propre regard si souvent posé sur elle ne pouvait pas m’échapper. Il y avait peu de moments où je ne vis ces yeux esquisser un mouvement en ma direction.
Ce petit manège avait débuté en début d’après-midi, lors de la visite d’un musée . J’osais au début à peine y croire, d’abord gêné par la présence de son mari.
Son audace à me regarder brièvement mais de façon ...
... soutenue, esquissant même quelquefois un léger sourire, contribua à me faire exprimer l’attention que je lui portais avec moins de retenue. Ainsi ce petit jeu prit une tournure nouvelle, tant nous nous habituions alors à chercher mutuellement nos regards.
Une complicité secrète s’était au fil de la journée insinuée entre nous à l’insu de nos mari et femme respectifs.
Nicole poursuivit ses avances par un jeu subtil auquel j’étais le seul sensible. Ainsi lors de la longue promenade qui s’en suivit alors que notre conversation s’animait à propos du statut respectif de la femme dans l’antiquité et aujourd’hui, et que son mari Edouard philosophait avec ma femme, tour à tour elle s’approchait et s’éloignait de moi, me gratifiant d’effluves parfumées qui agaçaient mes sens.
Tantôt elle me regardait avec plus d’insistance encore alors que son mari nous tournait le dos… Puis elle me frôla la main de la sienne, de ses doigt si délicats parés d’un verni rouge intense .
Elle me devançait, me laissant à loisir observer sa silhouette sensuelle, féline, moulée dans une robe de satin bleu fendue sur le coté, découvrant par moments le pli de sa jambe et le bas de sa cuisse. La beauté de celle-ci était tout à fait remarquable , à la fois musclée et élancée je rêvais déjà de pouvoir y appliquer d’attentives caresses…
De même lorsqu’elle ondulait devant moi son fessier magnifique révélant une féminité conquérante, je me voyais pétrir ses fermes globes du plat de mes mains.
Elle ...