1. Vacances romaines


    Datte: 07/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou Première fois Hardcore, Auteur: sensualites, Source: xHamster

    ... de la maison pour poser sa main sur la mienne. La douceur et la chaleur de celle-ci m’électrisa littéralement et j’eu du mal à contrôler mes gestes.
    
    J’étais assis profondément dans un fauteuil et quand elle se redressa je ne pus qu’être fasciné par le sombre triangle de son sexe qui discrètement transparaissait au travers de sa robe et du collant diaphane…
    
    Je ne pus alors étouffer un murmure: "Je n’en peux plus, j’ai tellement envie de toi !" Elle me répondit par un sourire de contentement, puis se pencha vers moi pour chuchoter à mon oreille: "Dés que cela est possible…" Mais elle du s’interrompre pour ne pas nous trahir, alors qu’ Edouard et Carole revenaient en riant.
    
    "J’aimerais vous faire visiter le jardin!" dit-il alors d’un ton enjoué. Je prétextais un léger mal de tête pour décliner l’offre, que mon épouse accepta après s’être enquie de mon état.
    
    A peine la porte refermée j’entendis Nicole fébrile: "Ne restons pas là!"
    
    Elle me pris par la main et m’entraîna à monter les escalier en courant avec elle. Elle se précipita avec moi dans une petite pièce qui servait de débarras. Elle sauta alors littéralement à mes genoux extirpant avec avidité et dextérité mon sexe bandé jusqu’à la douleur pour me prodiguer bientôt une caresse buccale des plus exquises. Elle s’affairait, tout en me palpant délicatement mes couilles, à me sucer la bite frénétiquement d’un mouvement langoureux. Elle continuait sa besogne avec application tout en massant langoureusement mon ...
    ... anus.
    
    Je pensais ne pas pouvoir me retenir quand elle se retira soudainement. Elle se redressa pour offrir à ma bouche un téton dénudé libéré de sa robe… Je l’engloutissais, le suçais, le malaxais , l’aspirais, le mordillais tout en pétrissant fermement d’une main libre l’autre sein.
    
    Ses mamelles en forme de poire se dressaient plus nettement encore, leurs bouts sombres aux cercles généreux réclamaient toutes les attentions . Bientôt je les fis rouler de toutes mes forces entre les doigts. Elle se cambra brusquement , étouffant avec peine un soupir d’abandon…
    
    Alors je fis glisser ma main à son entrecuisse, et massais bientôt de façon douce et ferme à la fois avec ma paume, sa chatte soyeuse que je sentais humide et moite au travers du collant.
    
    Je léchais le liquide onctueux qui poissait sur mes doigts et introduit ma main au contact direct de sa moule baveuse.
    
    Bientôt je sentis son fourreau poilu engloutir ma main . Sa bave tiède de femelle en chaleur enveloppait celle-ci jusqu’au poignet. Je la fourrageais en tous sens , insistant à agacer de mes doigts son point le plus sensible. À la fois c’est moi qui la massait, la malaxait, la pétrissait, à la fois c’est elle qui me branlait la main par les ondulations et les mouvements saccadés de son corps, jusqu’à engloutir mon avant-bras.
    
    Je fourrageais jusqu’à ses entrailles lorsqu’elle me supplia de la pénétrer par l’anus….
    
    Elle s’appuya d’une main contre le mur en me tournant le dos, retroussa sa robe jusqu’à la ...