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Vacances romaines
Datte: 07/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou Première fois Hardcore, Auteur: sensualites, Source: xHamster
... gouttes, provoqua chez moi un mouvement incontrôlé de ma main qui vint caresser les fesses de ma femme. Celle-ci ne repoussa pas mes avances et sembla même y prendre goût, serrant son bras autour de ma taille et blottissant sa tête contre mon cou… Je me sentais un peu coupable de ce désir irrépressible qui ne s’adressait pas à la femme qui était auprès de moi . Mais en même temps je me voyais libéré de toute contrainte, comme hors du temps, ne vivant que dans le but de tendre vers l’assouvissement de mes désirs, un peu comme si j’étais retourné à l’état sauvage. J’avais le sentiment même qui me glaçait le dos que s’il avait fallu tuer quelqu’un… Mais bientôt nous arrivions devant le porche de leur location. C’était une maison cossue, du siècle dernier typiquement romaine à la facture classique, belle sans ostentation. Bientôt nous pénétrions dans l’édifice, et c’est cette même impression d’élégance et de simplicité qui nous charma alors. Tout manifestait ici l’expression d’un confort discret qui mettait immédiatement à l’aise. Nicole nous invita à nous débarrasser d’une partie de nos vêtements. Mon épouse portait elle même une tenue très élégante, long fourreau de satin noir qui moulait à ravir ses seins menus dont on devinait le dessin de l’aréole au travers du tissus , ainsi que sa taille fine et son fessier charnu. Notre hôtesse quant à elle était partie se changer et réapparue plus ravissante encore dans une tenue extraordinairement sexy. Elle portait ...
... désormais une courte robe blanche qui lui arrivait à mi-cuisse. Ses jambes superbement galbées étaient recouvertes d’un collant blanc de soie très fine qui éclaircissait légèrement son teint hâlé. Elle portait des souliers d’une pareille blancheur aux talons élevés attachés par de larges bandes qui nouaient ses chevilles. La cambrure de ses reins s’en trouvait ainsi accentuée, et sa poitrine mise en valeur s’imposait alors fièrement, visiblement libérée de toute autre contrainte sous la robe légèrement transparente .Sous celle-ci je croyais deviner de sombres mamelons dont le dessin s’offrait plus évident encore que ceux de mon épouse. Toute autre femme , y compris ma compagne aurait parue vulgaire dans une telle tenue. Je ne sais par quel miracle, pour elle il n’en était rien. Elle parvenait à garder un air de dignité indiscutable et la beauté de ses formes offertes de façon impudique aux regards, lui semblait comme une parure élégante associée avec gout au naturel de son attitude, si familière et chaleureuse par ailleurs… Curieusement la notion de désir purement sexuel s’atténua même chez moi quelques instants. Je la perçus alors comme la sœur que j’aurais voulu serrer dans mes bras avec tendresse… Son attitude bientôt pourtant à nouveau troubla mes sens, et me fit la désirer plus intensément encore… Elle me servit un apéritif de sa composition en plongeant son regard velouté dans le mien, profitant de l’inattention de nos époux respectifs occupés à l’introspection ...