1. Annie, nympho et je ne me soigne pas. (4)


    Datte: 05/11/2020, Catégories: Hétéro Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... de mon amant. J’y vais et le retrouve enfin. Il est devant sa télé en train de regarder une émission débile. Il me regarde et me sourit.
    
    — Viens chez moi, j’ai une surprise et quelque chose à te dire.
    
    Je cours comme une ado jusqu’à mon immeuble. L’ascenseur me tend les bras, je n’en peux plus. Il me faut une queue, sa queue. J’ouvre fébrilement ma porte. Je vais directement à la douche que je prends glacée. La tension retombe. Je vais dans ma chambre, prends Maurice avec moi et le fiche sur son tabouret.
    
    — Je t’ai négligé ces derniers temps. Mais là c’est fini.
    
    Je place le tabouret face au miroir du salon et place une alèse au sol. Je vais dans ma cuisine et, non sans avoir sorti une binouze, je m’assois sur la chaise de ma grande terrasse. Je profite de la chaleur du soleil. Je m’allume une clope et bois une bonne lampée de bière. J’entends le bruit d’une tondeuse. Je me penche et je vois mon homme penché sur sa machine. Qu’il est beau ! Je me mets en position détente, les pieds sur la balustrade, jambes écartées. Je remonte ma main sur un sein et me triture le téton. Ma fontaine se met en route, mes sécrétions vaginales coulent sur la raie de mes fesses. Je sursaute quand j’entends le bruit affreux de ma sonnette. Je me lève, regarde par le judas, c’est lui. Je lui ouvre et lui dis de ne pas rentrer, d’attendre un peu. Je m’empale sur Maurice, m’appuie sur le miroir, bien cambrée. Je demande à Olivier de rentrer. J’entends la porte se refermer. Il est bloqué ...
    ... sur le tableau qui s’offre à ses yeux.
    
    — Mais je ne suis pas lavé, dit-il en enlevant tee-shirt et short, je dois puer.
    
    — M’en fous. Tu voulais me prendre en double, je te l’offre.
    
    Il s’approche de moi.
    
    — Putain, t’es vraiment une nympho.
    
    — Tu en doutais. Assez discuté, prends-moi.
    
    Il approche son pénis de ma rosette et pousse, il rentre facilement, mais moins qu’hier, Maurice est là. Il me prend comme un sauvage. De sentir mes deux amants en moi me rend folle. J’accompagne leurs mouvements. Je suis pleine et j’en jouis. Je ne hurle pas, je me retiens. Il souffle comme une loco vapeur et éjacule au fond de moi. L’extase. Je me tourne vers lui et l’embrasse. Il sent le fauve. J’adore. Je sens soudain un liquide chaud m’envahir, il me pisse à l’intérieur, je jouis. Je lui donne mon bijou anal.
    
    — Quand... Tu auras fini... HAN. Sale petit pervers.
    
    Je l’allonge à même ma moquette et le lèche comme une goulue. On part chacun à notre tour à la douche. On se calme. Je ramasse Maurice et le nettoie dans mon évier. Il arrive dans la cuisine, prend deux bières, et s’en va s’installer dans le salon, il ouvre la porte-fenêtre pour aérer. J’adore le voir prendre ses aises et se balader à poil, surtout chez moi. Je prends le contrat et le lui montre. Il décolle un post-it sans regarder. Il lit et devient tout rouge.
    
    — Waouh, super et t’as vu combien tu vas émarger pour un boulot de secrétaire.
    
    3500 Euros, ma vieille.
    
    Je lui file une claque sur la fesse. Je lis ...
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