Annie, nympho et je ne me soigne pas. (4)
Datte: 05/11/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: tomy83, Source: Xstory
... ma salope, je suis d’accord pour qu’on soit trois ce soir. Bises sur ta chatte.
Je souris, mais il est l’heure d’aller chez "Émile Leclerc". Je m’habille un peu plus sexy que d’habitude et descends rejoindre le magasin. Je passe par l’entrée des employés qui se situe dans le parking souterrain. Je croise Philippe, mon patron. Il me dit de passer à son bureau pour signer mon contrat. Je lui dis que je passerai à ma première pause. Il me sourit.
— Vous êtes très en beauté...
Je rougis et me sauve vers les vestiaires. J’y croise Véro qui m’annonce une bonne nouvelle, elle a viré Sophie et elle a pris Elsa. Je revis. Je vais à la caisse automatique, la journée s’annonce des plus radieuses.
À dix heures, je me dirige vers le bureau de Philippe. Je n’ai pas à taper, la porte est grande ouverte. Il me voit et s’excuse du "bordel" de son bureau, mais il cherche un dossier qu’il doit remettre à direction régionale cet après-midi. Il l’a perdu, je tape sur la chaise de son bureau. Il ouvre grand les yeux.
— Quel con, merci, Annie. Vous me sauvez la vie. Ah, oui, votre contrat. Ça je sais où il est.
Il me tend trois feuilles que je paraphe et signe.
— Ça ne vous intéresse pas le poste de secrétaire. Véronique l’a refusé. Elle préfère son poste de "chef caissière".
— Je ne sais pas, il faut que je lui en parle.
— Accepte, idiote, me crie Véro qui était dans la salle de repos.
— Bon, alors ?
— Oui, j’accepte si vous me promettez une chose.
— ...
... Laquelle ?
— Que vous détendez, vous m’avez l’air tendu et soucieux. (mon esprit pervers, salope et nympho ressurgissent).
Je verrouille sa porte et enlève ma blouse. Je lui demande de s’asseoir. Il le fait, médusé. J’ouvre son pantalon et en extirpe un sexe de bonne taille, en érection.
— Laissez-vous faire, je vais vous faire retomber toutes ces tensions.
Je lèche son gland. Il s’agrippe à son fauteuil. Je le mange et il aime ma façon de faire. Je le pompe à fond. Il n’est pas long à venir. Il brame et son jus se déverse à grands flots dans ma bouche. Je m’en régale. Je lui souris, il me sourit.
— Waouh !
— Ça va mieux ?
— Oui, merci Annie. Vous êtes une...
Je l’embrasse, partageant son foutre. Il me caresse les fesses. Je remets ma blouse et quitte son bureau. Mon temps de pause étant fini, je rejoins ma caisse. Mme Quiquenpoid passe rarement à la caisse automatique, mais aujourd’hui, elle est en train de scanner ses articles. C’est vrai qu’elle possède encore une belle silhouette.
Le reste de la journée passe vite. J’ai hâte de rejoindre ma grenouille. Pendant ma pause clope, je l’ai aperçu torse nu en train d’arroser les massifs de fleurs. J’ai eu une bouffée de chaleur vite interrompue par Philippe qui me tend un nouveau contrat. Je le mets de côté, je le lirai plus tard.
La fin de journée ou le début d’après-midi passe vite. Je cours dans le couloir qui mène aux vestiaires. Je claque la porte de mon armoire. Je traverse la rue me séparant de la loge ...