1. Annie, nympho et je ne me soigne pas. (4)


    Datte: 05/11/2020, Catégories: Hétéro Auteur: tomy83, Source: Xstory

    On croise ma vieille voisine traînant un petit sac à roulettes, un "Caddy". Elle nous dit qu’elle a dû faire ses courses elle-même. Olivier s’excuse, il l’avait complètement zappé. Elle lui répond que c’est normal de préférer une jeune fille (merci pour le compliment) comme moi qu’une vieille rombière comme elle.
    
    — L’amour n’a pas d’âge, n’est-ce pas mon amour.
    
    — Euh... Oui... Je... Je pense.
    
    La petite vieille, Hélène, nous sourit. Mon petit homme décharge les bras de cette dernière. L’ascenseur est assez grand pour nous accueillir tous les trois. Elle sort à son étage et nous salue poliment. La porte se referme. Ma petite grenouille est vexée de ne plus avoir pensé à... Hélène. De l’avoir oublié. Je le rassure, elle ne lui en veut pas et que demain, ce sera oublié. On entre dans mon appartement. Je me mets nue, il est avachi dans mon canapé, la tête entre les mains.
    
    — Va t’excuser ! lui dis-je d’un ton sec et autoritaire. Ou rentre chez toi. Je ne vais pas passer un dimanche après-midi avec un mec qui va faire la gueule toute cette putain de fin de journée. Allez, file.
    
    Je lui ouvre la porte et il sort en traînant les pieds. Il prend les escaliers.
    
    Je laisse la porte ouverte, mon côté exib ? Sûrement. Je vais prendre une bonne douche et me refais un lavement qui s’avère nécessaire. Je vais sur mon immense terrasse. Je regarde à droite, à gauche, toutes les terrasses ont un parasol, une table et des chaises de jardin. Si ma petite grenouille vient manger ...
    ... plus souvent, il faut que je pense à aménager cet endroit qui est sinon perdu.
    
    Je m’allume une clope. Olivier revient au bout d’une demi-heure. Il a un large sourire aux lèvres, ça fait plaisir à voir. Il prend le petit tabouret de Maurice et se met face à moi.
    
    — C’est bon, c’est oublié. Elle m’a dit qu’elle ne m’en voulait pas du tout. En me voyant si fébrile, elle m’a offert un petit remontant.
    
    — Tu vois, tu as certainement gagné une amie.
    
    — Euh... Tu sais... Ça me gêne de te dire ça.
    
    — Bon, accouche !
    
    — Eh bien, elle est encore bonne la vieille Hélène...
    
    — Quoi ?
    
    — Bin oui. Elle a été à contre-jour pendant tout le temps. Sa blouse était transparente et elle ne porte pas de soutif. Ses seins tombent un peu, mais ils sont jolis avec de gros tétons qui pointent. Brrr.
    
    — Mais tu bandes ? Tu bandes pour une petite vieille de 70 ans...
    
    — Mais non...
    
    — Enlève ton short. Ha, mon salaud, tu vois que tu bandes, jeune pervers.
    
    On éclate de rire, il retire son haut. Le reste de l’après-midi est à passer à nous câliner, nous embrasser. Pas de relation sexuelle, non. Juste à nous caresser. Me revient l’idée du sauna. Je saute hors de mon canapé-lit et je vais chercher un mètre à ruban. Je lui mesure sa bite.
    
    — Oh putain. J’ai perdu l’œil. 25 par... 6. La vache.
    
    — Elle a poussé depuis que je te connais...
    
    Je m’affale sur ce corps si frêle et le chatouille. Il est, on est mort de rire.
    
    — T’aimerais me prendre avec un autre mec ?
    
    — Tu as ...
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