Annie, nympho et je ne me soigne pas. (4)
Datte: 05/11/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: tomy83, Source: Xstory
... vraiment des pensées lubriques... Pfft.
— Autant que toi avec la vieille Hélène...
Il saute sur mon ventre. Je sens son sexe tendu à l’entrée de ma chatte. J’ai envie de le sentir en moi... Avec Maurice, ce serait un bon début. Il m’embrasse le cou et me pénètre d’un coup. Ça rentre tout seul tellement je mouille. Il me baise en missionnaire, en cuillère, en levrette. Je ne compte plus les fois où j’ai joui. C’est qu’elle est endurante ma petite rainette. Je me positionne une nouvelle fois en levrette. À l’aide de mes mains, j’écarte mes grosses fesses, la tête posée au sol.
— Vas-y, encule-moi.
Timidement, il regarde mon anus. Timidement, il approche sa langue et commence un anulingus. Il a une culture pornographique qui me plaît. Il rentre sa langue entre mes sphincters.
— Oh, oui. Continue... ARGH...
Je le regarde par-dessus mon épaule. Il s’applique, mais j’ai envie de son sperme au fond de mes boyaux.
— Encule-moi, putain et arrête de jouer.
Il se relève en pouffant de rire. Son gland est énorme. Il le pose sur ma rondelle, pousse et rentre assez facilement. Je souffre quand même un petit peu. Manque d’entraînement. Pas le temps de me plaindre, il ressort avant de me réinvestir mes intestins. Je souffle.
— C’est ça que tu attendais, gosse pute, dit-il en me claquant les fesses, tu voulais ma grosse bite.
Je ne peux lui répondre. Je subis son assaut. Il est violent et merde. J’aime ça. Il me ramone pendant dix bonnes minutes avant de ...
... décharger dans mon fondement une quantité énorme. Je suis remplie, je suis gavée, je suis bien. Il s’allonge sur moi.
— Merci, ma chérie... Pardon, merci sale pute.
— Hum, j’adore quand tu me parles comme ça...
On repart dans un fou rire incontrôlable. Je sens sa verge se dégonfler. Je m’extirpe et vais prendre une douche. Il me suit, mais pas pour prendre une douche avec moi, mais pour soulager une envie pressante.
— Non pas là. Pisse-moi dans ma gueule de chienne.
Il hésite. Je le tire à moi et m’agenouille. Il n’en peut plus et se lâche en évitant mon visage. Je me dirige vers son jet en ouvrant la bouche. Je déglutis plusieurs fois en le regardant. Il me sourit, preuve qu’il aime à m’humilier. Une fois la source tarie, je lui nettoie sa queue qui a débandé. Enfin !
Je me relève. Il prend ma tête entre ses mains et il m’embrasse.
— Tu sens la pisse, sale catin.
Évidemment, on éclate de rire.
— Tu restes dormir ici ?
— Je commence à six heures.
— Moi à huit.
— D’accord, alors.
On prend notre douche ensemble. On va se coucher et on s’endort du sommeil du juste. Le nez collé dans son coup, je le respire et j’aime son odeur. Je L’aime...
À mon réveil, je suis seule. Le radio réveil indique 06 h 30. Je me lève difficilement, avec tout ce que j’ai pris hier soir, normal. Je passe vite fait à la douche, que je prends froide, ça raffermit les chaires. Je me sers ensuite un petit café. Il y a un post-it sur le frigo.
— Passe une bonne journée, ...