1. Brèves retrouvailles


    Datte: 04/11/2020, Catégories: fh, couple, amour, jalousie, fsodo, jeu, Auteur: François G., Source: Revebebe

    ... grange.
    
    Elle avait compris. Elle éteignit la lumière et entrouvrit les volets de notre chambre, créant ainsi la pénombre. Elle revint se positionner debout. Le jeu pouvait commencer. Dans le silence de la nuit, ma main se posa sur sa cuisse, puis vers l’intérieur, remonta doucement. J’effleurai ses poils, puis ses lèvres intimes. Elle était trempée de désir. Je savais, je n’étais pas aussi naïf, que je n’étais pas la seule cause de cet émoi. Il ne fallait pas rompre le charme. Nous étions presque dans le noir. Il fallait qu’elle oublie que les mains qui la caressaient étaient les miennes. Pour y arriver, je restai silencieux. Puis je fis le test.
    
    — Avec ce soleil, la porte de la grange va vite sécher…
    
    Silence. Allait-elle se libérer ? Entrer totalement dans le jeu ? Sa réponse décupla mon excitation.
    
    — Oui. Il fait si chaud dehors.
    — Ta mère va avoir chaud au village. Elle revient quand ?
    — Dans deux heures ?
    — Tu es bien, toute nue ?
    — Oui.
    — C’est la première fois que tu te fais caresser ?
    — Oui.
    — Écarte tes jolies cuisses, petite coquine… tu veux combien de doigts en toi ?
    — Deux ou trois
    — Gourmande.
    
    Doucement j’enfonçai les deux doigts demandés. J’approchai ma bouche de la peau fine et douce de son ventre. Je laissai mes lèvres descendre sur les poils noirs de son pubis puis plus bas. Ma langue prit le relais et partit à la recherche de son bouton d’amour. Les bras ballants le long de son corps, elle commença doucement à onduler des hanches. ...
    ... Quand je la sentis près de l’orgasme, sadique, j’arrêtai mes mouvements de doigts. Elle soupira. Ce soupir se mua en une plainte rauque. Elle balança des hanches plus vite, plus fort. Elle se masturbait maintenant avec et sur mes doigts, ondulant, la tête en arrière, cambrée. Je voyais son ventre se creuser et ses seins blancs darder dans la pénombre. Son déhanchement se fit violent. Elle jouit dans un feulement avant de basculer à plat ventre sur le lit.
    
    — Alors petite coquine, ça te plait de te faire caresser dans une grange.
    — Hum…
    — J’ai un doigt… plus gros si tu veux.
    — Je peux pas… je veux rester vierge pour mon futur mari.
    — Mais tu sais… il y a une autre solution.
    — Laquelle ?
    — Mets-toi à quatre pattes, petite coquine.
    
    Doucement, elle se mit dans la position demandée, cambrant ses reins et sa croupe, dans une délicieuse impudeur. Doucement, je frottai mon gland sur ses lèvres puis sur son anus.
    
    — Par-là ton « futur mari » ne verra rien.
    — Oh, mais ça va faire mal.
    — Mais non, on va y aller doucement. Tu diras rien à ta mère, promis ?
    — Promis.
    
    Elle était tellement excitée que la pénétration se fit très facilement. Je la limais doucement, tout en lui parlant pour la « maintenir dans la grange ».
    
    — Demain, ta mère est là ?
    — Non, elle repart en ville.
    — Tu voudras m’aider à peindre ?
    — Oui.
    — Tu t’habilleras comment ?
    — Comme tu veux.
    — Alors juste ton tee-shirt, d’accord petite cochonne ?
    — Oh, mais ma mère va le voir.
    — Débrouille-toi.
    — ...
«12...4567»