1. Brèves retrouvailles


    Datte: 04/11/2020, Catégories: fh, couple, amour, jalousie, fsodo, jeu, Auteur: François G., Source: Revebebe

    ... bergerie seule avec lui.
    — Ah bon ? Là, avoue que tu me dois une petite explication.
    
    Le silence se fit. Quelques secondes où je me dis qu’avec ce qui allait suivre ou non, je saurais si Carole était sincère.
    
    — Écoute François, quand j’étais plus jeune, avant de te connaître, je m’entendais bien avec lui. Il était très ami avec mes parents et il était souvent chez nous.
    — D’accord, et ça s’est cassé à cause de quoi ?
    — Ce n’est pas facile de t’en parler, surtout après ce qui s’est passé.
    — C’est vrai, mais c’est bien que tu essaies, surtout si ça peut te soulager.
    — Merci. Donc, j’étais jeune et naïve. Il se montrait sympa avec moi mais il attendait son heure.
    — Et son heure est venue quand ?
    — Un jour où l’on repeignait ensemble une porte de grange. Il faisait très chaud. Il m’a proposé de me mettre à l’ombre, un moment, dans la grange.
    — Tu étais habillée comment ?
    — Léger. Un grand tee-shirt blanc et un maillot de bain deux-pièces dessous.
    — Ok, et donc ?
    — Tu ne te fâcheras pas, promis ?
    — Promis. C’était avant qu’on se rencontre donc je n’ai rien à dire.
    — On est entré dans la grange. Il m’a emmenée vers le fond parce qu’il y avait des bottes de pailles pour s’asseoir. Comme ça piquait, on a enlevé nos tee-shirts. Il me faisait rire. J’étais bien. Et puis…
    — Et puis ?
    — Là, il m’a dit que j’avais pris de jolies formes, de jolis seins. Je suis restée silencieuse. Il m’a caressée doucement la joue puis les épaules en jouant avec les bretelles du ...
    ... maillot.
    — Pourquoi tu n’es pas partie ?
    — Je n’avais jamais flirté avec un garçon. Ma mère, tu la connais, était très stricte. J’avais l’occasion de braver un interdit…
    — Ok. Alors tu es restée et ensuite.
    — Ensuite, comme je ne protestais pas, il a poussé ses avantages doucement, sans me brusquer. Il a fait glisser mes bretelles, puis un bonnet du soutien-gorge. Il m’a dit que j’avais un beau sein. Puis il m’a dit : « tu me montres l’autre ? »
    — Tu l’as fait ?
    — Oui. J’ai carrément ôté mon soutien-gorge. Je pensais qu’il en resterait là.
    — Tu étais vraiment naïve. Et, bien sûr, il en a profité.
    — Il était très patient. Il devait savoir que s’il allait trop vite, j’allais vite me rhabiller et sortir.
    — Bien sûr. Continue…
    — Il m’a fait mettre debout devant lui. Il m’a dit que j’étais très jolie. Il me regardait. Il m’a fait tourner. Il m’a effleuré le dos en me disant que ma peau était douce et chaude. Ses mains ont glissé sur mes hanches. Jusqu’à mon bas de maillot. Il a tiré dessus en me disant : « Tu dois avoir trop chaud avec ça ».
    — Et tu n’as rien dit ?
    — Non, j’étais comme envoûtée. Je me suis retrouvée avec ma culotte sur mes pieds. Je l’ai enjambée pour me retrouver libre. Il m’a dit de me retourner. Il m’a contemplée nue. Puis il m’a dit que j’étais belle.
    — Ensuite ?
    — Toujours assis, il m’a dit de m’approcher. De mettre une jambe de part et d’autres de son genou. Il a effleuré mes seins. Ils se sont dressés. Et puis il a embrassé mon ventre, ma toison ...
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