1. Abusée ?


    Datte: 23/04/2018, Catégories: Première fois Auteur: Emile, Source: Hds

    ... l’habitude et mets cela sur le compte de mes efforts de toilette. Lui aussi est parfumé et rasé de près. Dès notre première embrassade, alors que sa langue autoritaire prend possession de ma bouche, ses mains se glissent dans mon short et rencontrent sans obstacle mon sexe et la rosette de mon cul. D’abord un peu gênée d’être attaquée au fondement, je finis par comprendre que je dois m’écarter autant que possible pour recevoir et donner du plaisir. Je m’écartèle et sens mon vagin envahi. Entre mes fesses le bout de ses doigts fait des arabesques sur mon cul qui s’échauffe. Il s’agite et je ressens un plaisir intense. C’est divin ! Lorsque je suis un peu calmée, il me défait tendrement de mes chaussures, mon short et mon petit haut et me dépose, totalement, terriblement nue pour la première fois, sur sa couche au milieu de coussins. Puis il se met en pleine lumière près de la fenêtre et commence à déboutonner sa soutane.
    
    Non seulement il est nu dessous, mais il a très soigneusement fait disparaître de son corps toute trace de pilosité. La soutane tombe au sol. Il tourne sur lui-même. C’est un fort bel homme au physique presque féminin. Sa peau semble d’un grain très fin. Son sexe est long et mince, ses hanches et ses fesses un peu trop marquées, ses cuisses et ses bras musclés sans excès, ses épaules fines et élancées ses abdominaux fermes et déliés. Un bel homme de 35 ans un peu moins efféminé que je ne suis androgyne. Il m’avoue, rougissant : « Tu es mon premier amour ...
    ... hétéro. Jusqu’ici je n’ai connu que des garçons ! Si nous faisons l’amour, je ne sais si je saurai te satisfaire.» Mais il est trognon le bougre ! Je me lève brutalement et me jette à son cou comme pour l’inciter à l’ultime outrage. Effectivement, sa peau est d’une douceur sans pareil. Hormis le contact de mon bas ventre avec son sexe durci, j’ai l’impression que nos deux corps s’emboitent parfaitement lorsque je suis sur la pointe des pieds. Il me serre contre lui et me couvre de baisers. Ses bras sont puissants, je ne touche plus le sol. Il me pose à nouveau sur le lit et me retourne dos à lui. Instinctivement, je me mets à quatre pattes. Il murmure : « pardon, mais je veux te prendre comme un garçon ! ». Et ses mains écartent mes fesses à l’extrême, sa langue détrempée envahit mon cul et entre tout doucement en lui. D’une main, je caresse activement mon clito. Longuement, il lubrifie le passage de sa salive. Je veux plus et lorsqu’il entre en moi par doux à-coups successifs, j’ai envie qu’il emplisse mes entrailles. Ses caresses m’ont donné un avant-goût du plaisir vaginal, je me suis donnée le clitoridien, à lui de me faire jouir du cul ! Et il s’y consacre avec une telle compétence que je ne doute pas que je ne suis pas le (ou la) premier(e) amant(e). J’ai déjà joui lorsque sa queue tressaute et inonde mon colon. Avec ce jeune curé dans le fondement, j’ai eu un avant-goût du paradis. Assurément !
    
    Inutile de vous dire que si Je me suis perfectionné, cet été là en langues ...