Educatrices Ch. 04
Datte: 30/10/2020,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica
... survolté.
Elle s'empara du clitoris déjà dressé hors de son capuchon protecteur, le pinça, l'agaça jusqu'à complet affolement.
Cet affolement gagnait maintenant tout son corps, son ventre embrasé se pressait à la rencontre des doigts, oubliant tous ses préjugés, Fran-çoise vibrait sous les caresses son corps aspirait à plus.
Contournant la chaise Sylvie se laissa couler aux genoux de Françoise, sa tête s'enfonça comme un coin entre les cuisses largement ouvertes, offrant toute la motte à la convoitise de la séductrice, elle posa ses lÈ-vres sur la fente velue et embrassa longuement la déchirure.
De la langue elle explora les recoins de sa féminité débusquant à nou-veau le bourgeon de chair qui cette fois s'érigea tel un petit bec au sortir de l'œuf.
La langue se faisait maintenant envahissante, la salive et le jus séminale se mélangeaient détrempant la moule de plus en plus accueillante.
La langue en rouleau, elle fraya son chemin dans l'étroit passage qui s'adapta immédiatement à la conformation de ce tendre envahisseur, après toute une série de caresses profondes elle quitta la douce tiédeur du sexe englué pour suivre le périnée, et malgré le rebord de la chaise parvint à caresser de la pointe la rondelle mauve de l'anus palpitant.
Profitant du total désarroi de sa proie, Sylvie termina son effeuillage et c'est totalement nue que Françoise assista au strip ultra rapide de sa débaucheuse.
Immédiatement, ne lui laissant pas le temps de se ressaisir ...
... elle lui reprit les lèvres et l'attira fermement vers le lit qui leur tendait les bras.
Les deux corps nus se pressèrent l'un contre l'autre tandis que lèvres à lèvres les deux gouines se palpaient mutuellement le corps, éprouvant la fermeté des fesses rebondies, envahissant les sillons profonds des culs ouverts avant que les doigts raidis ne se perdent dans les intimités de l'une et de l'autre.
Françoise avait maintenant tout oublié de ses préventions initiales, elle ne pensait plus qu'à la joie de son corps qui exultait sous des caresses jusqu'ici inconnues.
Se relevant, Sylvie se retourna et s'installa tête bêche sur Françoise, lui livrant la vision de la fourrure rousse qui lui envahissait tout l'entre cuisse.
Tandis que Sylvie reprenait ses caresses labiales, Françoise s'attarda dans la contemplation du premier sexe féminin qu'on lui livrait ainsi.
Tout concourait à l'affoler, la douce tiédeur qui émanait du con juteux, l'odeur intime de la rousse qu'elle respirait à plein nez, les élancements de son ventre embrasé qui maintenant l'enflammaient.
Se remémorant la caresse qui tout à l'heure l'avait tant émue elle épiait les mouvements spasmodiques de l'anus ridelé, qui s'entrouvrait de fa-çon obscène sous ses yeux ébahis, bientôt elle ne put plus se retenir et curieusement, au lieu de tester le goût de la craquette qui lui était offerte, sa langue se posa sur le sphincter anal, tenta de le forcer de la pointe, parvint à le pénétrer doucement.
Les fortes ...