1. Educatrices Ch. 04


    Datte: 30/10/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... pas!
    
    Les deux éducatrices veillèrent toute la matinée sur les jeunes puis les envoyèrent à la télé lorsque Miloud les appela :
    
    - Françoise... Murielle... L'autre salope, monte aux groupe... A vous de jouer!
    
    Toutes deux s'avancèrent vers l'arrivante.
    
    -- Bonjour... Francoise Ledoux... Murielle Degat... Se présentèrent-elles.
    
    -- Sylvie Bonnart, je connais déjà Murielle de vue, mais... Vous Françoise, c'est la première fois que je vous vois ici le week-end...
    
    -- Sylvie s'ennuyait seule avec les gamins... Elle m'a demandé de lui tenir compagnie... Mais entrez on discutera mieux autour d'un verre... Suggéra Françoise .
    
    -- Avec plaisir... Je m'ennuie à crever dans l'infirmerie, je cherchais quelqu'un pour passer le temps... Avoua l'arrivante.
    
    Toutes trois s'installèrent sur les fauteuils profonds de la salle de vie, les deux éducatrices, comme l'avait ordonné Miloud, se placèrent face à leur invitée.
    
    Les jambes légèrement écartées, elles semblaient ne pas être conscien-tes que dans cette position, l'infirmière pouvait tout détailler de leurs chattes velues.
    
    Un éclair intéressé brilla dans l'œil de Sylvie, visiblement, tout en conversant, elle comparait discrètement les deux touffes, la fréquence de ses regards indiscrets indiqua bientôt la craquette qui captivait le plus son attention.
    
    Visiblement elle appréciait plus particulièrement la blonde cramouille de Françoise.
    
    Celle ci, comme convenu, multiplia les effets de cuisse, se levant et se ...
    ... rasseyant pour faire le service, se frottant, comme par inadvertance contre Sylvie, lui permettant ainsi d'apprécier la fermeté de sa poitrine, le soyeux de ses cuisses, l'ampleur de son cul.
    
    Il devint bientôt évident pour tous que Sylvie goûtait fort ses contacts fur-tifs, elle évaluait la silhouette de Françoise, fort gênée d'un intérêt si pal-pable.
    
    Elles amenèrent petit à petit, insensiblement la nostalgique jeune femme à se confier, lui arrachant peu à peu, sans heurt des confidences plus intimes, qui permettraient aux garçons de la connaître mieux, de déter-miner plus clairement son profil...
    
    De la savoir gouine ne suffisait pas, il en fallait plus pour mener à bien leurs desseins.
    
    Brisant la conversation, l'infirmière les quitta, invitant cette nouvelle amie qu'elle convoitait à se joindre à elle , le soir mˆme pour l'apéritif.
    
    Après son départ, les deux jeunes femmes firent leur compte-rendu aux garçons impatients d'en savoir plus.
    
    La quarantaine, Sylvie était mariée, mère de trois grands enfants.
    
    Elle avait débuté comme infirmière dans un hôpital de la région, puis s'était consacrée à l'éducation de ses trois enfants, le salaire confortable de son mari leur avait alors permis de vivre largement.
    
    Ils avaient acquis une maison 6 ans plus tôt, et de ce fait remboursaient des traites élevées parfaitement supportées par le budget initial.
    
    Mais malheureusement, l'année précédente, la situation avait brusque-ment évolué, ses jumeaux ayant dépassés les ...
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