1. Educatrices Ch. 04


    Datte: 30/10/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... tard, l'atmosphère se fit franchement plus chaleureuse, l'ambiance se réchauffait, Sylvie confia à Françoise le poids de sa solitude.
    
    A la conversation futile de l'après midi, succéda des confidences plus intimes, l'infirmière semblait brûler ses vaisseaux, par petites touches elle amena le débat sur un plan plus personnel préparant sournoisement le terrain pour l'assaut qui devait suivre.
    
    Elle, si gaie dans la vie courante, dépérissait à Moyembrie, sa nature exubérante ne pouvait se contenter de trois jours et trois nuits d'absti-nence.
    
    Tenant ces propos, Sylvie s'était levée, avait contourné la chaise de Françoise et s'appuyait maintenant lascivement contre son dos.
    
    Sur ses épaules Françoise éprouvait la tendre chaleur de la poitrine de la belle inassouvie qui se penchant apercevait dans l'échancrure du tee-shirt le sillon médian séparant les deux globes veloutées.
    
    les gestes de Sylvie se firent plus enveloppants, tout en discutant elle avait posé la main sur l'épaule de Françoise.
    
    Imperceptiblement, elle la laissait glisser, dans l'ouverture béante du col, elle entama des caresses furtives sur le haut des lourdes masses.
    
    Malgré elle Françoise commençait à se sentir troublée, si au début elle avait refreiné son instinct qui la poussait à rejeter brutalement la main envahissante, peu à peu son esprit s'échauffait, de se savoir épiée par ses possesseurs la mettait dans tous ses états, et comme la caresse in-sidieuse éveillait dans toute sa poitrine des ...
    ... petits élancements de plaisir!!
    
    Sylvie, constatant l'évolution favorable de ses entreprises se fit plus ten-dre et plus nette dans ses intentions, elle empauma un robert, le massa longuement, estimant sa densité, sa fermeté.
    
    Puis elle glissa la main dans le sillon velouté sous le sein et en de lentes rotations remonta vers l'aréole dont la peau se granulait, un soupir s'échappa des lèvres de Françoise qui avouait ainsi son trouble, son émoi à sa tentatrice.
    
    Profitant de l'abandon passager de Françoise, Sylvie lui dénuda lente-ment le torse, caressant maintenant ses deux seins, dressant pareille-ment les deux tétons dardés.
    
    Ses lèvres se posèrent sur la peau tendue, de la langue elle assiégea l'un des mamelons, puis aspira à pleine bouche le téton durci, le téta goulûment, le mordillant et le léchottant.
    
    Des éclairs de plaisir explosaient maintenant dans la tête de Sylvie, elle tendait son buste vers la bouche de sa partenaire.
    
    Relevant la tête, Sylvie lui prit les lèvres, sa langue moite s'immisça dans la bouche grande offerte franchit la barrière des dents, s'entortilla, agile et enveloppante, autour de celle de Françoise qui s'alanguissait sur sa chaise.
    
    Profitant de son avantage, Sylvie remonta doucement la jupe sur les cuisses charnues qui déjà se disjoignaient, d'une main elle suivit la voie largement dégagée du pubis atteignant la fourche poilue, deux doigts coururent le long de sa fente, s'imprégnant du jus onctueux, qui peu à peu débordait du con ...
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