1. Educatrices Ch. 04


    Datte: 30/10/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    Texte personnel Coulybaca
    
    Tous les jeunes participant physiquement à l'action sont âgés de plus de 18 ans.
    
    Chapitre 4 : Le piège se referme sur Marielle la gouine.
    
    Après une nuit entière de repos, Françoise sentit une vague caresse le long de son dos, Miloud éveillé le premier se frottait insidieusement contre sa croupe, cherchant à la sodomiser en douceur.
    
    Il écarta largement les deux rotondités épanouies, dégageant nettement sa cible.
    
    Puis pressant du gland l'œillet sensible, il força.
    
    La brûlante douleur transperça Françoise, elle ne réalisait pas encore ce qui se préparait, seul son anus durement sollicité palpitait d'affolement, le reste de son corps était encore engourdi, à demi plongé dans les bru-mes du sommeil.
    
    D'une poussée violente, le gland mafflu pénétra le goulot du petit sanc-tuaire crispé, la douleur fulgura dans ses reins.
    
    Pensant sortir d'un cauchemar, elle reprit rapidement pied dans la réali-té, empalée par une bite qui frayait impérieusement son chemin dans son intestin frémissant.
    
    Miloud, sans plus se soucier de ses gémissements s'arc-bouta, et le gros cylindre s'enfonça lentement jusqu'à la garde au cœur de sa gaine dis-tendue.
    
    Déjà, la souffrance s'estompait, remplacée par une bienfaisante impres-sion de plénitude.
    
    Son boyau culier avait entièrement absorbé le gros rouleau de chair, Mi-loud se sentait pris comme dans un étau.
    
    Au ras des couilles, le sphincter tressautait lui étranglant la tige comme un collet le ...
    ... lapin au sortir du gîte.
    
    Se trémoussant avec entrain, contre le glorieux pétard, il entama son branle d'avant en arrière, certain de ne pouvoir se contrôler longtemps, tant son plaisir était grand.
    
    Muscles tendus à craquer, enserrant la pine dans son fourreau de ve-lours, totalement éveillée, le ventre affolé, elle se mit à ruer contre son pubis.
    
    Un incroyable orgasme montait dans ses reins conquis, elle en voulait encore plus, s'empalant jusqu'à la racine sur le prodigieux braquemart, l'empoignant de ses sphincters comme avec un poing qu'elle aurait res-serré et desserré en mesure pour mieux contrôler, retarder le flux qu'elle savait imminent .
    
    Sans se poser d'autres questions, elle prétendait profiter à fond de ce chibre qui l'emplissait tant, provoquant tant de plaisirs nouveaux, incon-nus, incongrus.
    
    Dans un grand jaillissement il ne tarda pas à se déverser dans le cul dompté, l'inondant de son foutre chaud.
    
    Lors de son retrait, l'anus béant, elle sentit la liqueur grasse suinter de son anus, lui poissant la chatte.
    
    Elle dut s'essuyer soigneusement l'abricot avant de passer jupe et tee-shirt tandis que Miloud s'habillait.
    
    Sur le pas de porte elle rencontra Charles et Stephan tenant enlacée une Murielle aux yeux soulignés de larges cernes noirs.
    
    Elle eut tout de suite l'explication, de ces larges marques de fatigue, Stephan expliquait, vaguement admiratif :
    
    - Putain tu parles d'une salope... On vient de se la faire en sand-wich... Je te raconte ...
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