1. Educatrices Ch. 04


    Datte: 30/10/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... dix-huit ans fatidiques, le couple avait perdu les allocations familiales ce qui était encore supporta-ble.
    
    Mais la dessus son mari perdit son emploi, et ne retrouva qu'un boulot de surveillance inintéressant, sous-payé, l'éloignant du foyer du vendredi soir au mercredi midi.
    
    La seule solution, permettant de palier aux pertes financières, avait été son retour dans la vie active.
    
    L'IME à partir de cette année ayant ouvert un internat permanent, elle avait postulé pour ce poste relativement bien payé et autorisant une vie conjugale en rapport avec l'emploi du temps de son mari.
    
    Cependant elle se sentait très seule, le peu d'activité réelle de son bou-lot, la contraignant à rester inactive, désœuvrée, dans de longues gardes stériles, peu mouvementées, elle cherchait à lier avec le personnel de
    
    service, cherchant un dérivatif à son ennui.
    
    -- On lui en collera du dérivatif à la vieille... D'autant plus que c'est tout bon... Elle ne peut pas se permettre de scandale... Elle per-drait son boulot, et pour en retrouver un autre... Si on tire des vi-déos bien juteuses... On l'a à notre pogne! Commenta Charles.
    
    -- J'ai l'impression que c'est Françoise sa préférée... Alors ce soir t'as intérêt à lui jouer le grand jeu... On sera dehors! Intervint Mi-loud.
    
    -- Mais j'ai jamais fait ça avec une femme... C'est dégueulasse... Je n'y arriverai pas... Je ne saurai pas comment... Se révolta Fran-çoise.
    
    -- Tu te débrouilleras... T'inquiètes pas... Elle te montrera, ...
    ... faut ja-mais perdre l'occasion d'apprendre... De toute manière on te de-mande pas ton avis... N'oublie pas les photos! La menaça perfi-dement Miloud.
    
    Françoise n'insista pas plus, elle ne pouvait pas se le permettre, et Mi-loud le savait, elle opina de la tête.
    
    Lui flattant les reins, Miloud accepta sa reddition, dédaignant de la com-menter plus.
    
    La journée se déroula normalement, la sieste fut l'occasion de quelques enconnages, pipes et enculages mais ce fut surtout Murielle qui fut solli-citée, Françoise devait garder tout son influx pour le soir.
    
    A dix neuf heures tapantes, elle se rendit à son rendez-vous, Miloud avait veillé à sa tenue.
    
    Elle arborait un tee-shirt sur sa peau nue.
    
    Les pointes de ses seins, raidies par l'angoisse, cherchaient à perforer le coton, si elle avait déjà entendu parler de caresses entre filles, elle n'avait jamais pratiqué, d'ou son angoisse.
    
    Sa jupe courte révélerait immanquablement l'absence de culotte dès qu'elle s'assiérait.
    
    Avec un grand sourire Sylvie lui ouvrit la porte, elle s'était aussi parée pour la rencontre, à chacun de ses pas ses cuisses fuselées s'évadaient par les fentes de son déshabillé noir plus fait pour suggérer la richesse de ses formes que pour les voiler.
    
    -- Je me suis mise à mon aise... Annonça-t-elle tout en invitant Françoise à s'asseoir.
    
    Dès ce premier mouvement elle entrevit la chatte dénudée de Françoise, elle ajouta moqueuse :
    
    - Toi aussi à ce que je vois!
    
    Deux verres d'alcool plus ...
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