25 juin - 29 juin
Datte: 29/10/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
anniversai,
voyage,
train,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
journal,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... globes élastiques. Ajusté à son petit trou, je pousse fermement. Le gode accueilli à cet endroit pendant la journée et quelques agacements avec les doigts ont bien préparé le terrain. La conquête en est aisée. C’est maintenant contre sa motte que mes boules viennent cogner. Sachant combien les mots peuvent l’embarrasser, je décide, bien que n’étant pas moi-même un fanatique de la vulgarité, d’un peu la titiller :
— Aimes-tu ?
— Oui.
— Qu’est que tu aimes ?
— Ça.
— Ça quoi ?
Silence.
— Si tu ne me dis pas ce que tu aimes, comment veux-tu…
Je laisse ma phrase en suspens, tout en arrêtant de la ramoner. D’un coup de rein elle essaie de relancer la mécanique, mais je me recule d’autant. Elle a un soupir de frustration. D’une voix rauque elle dit en se tortillant :
— J’aime faire l’amour.
— Ah bon ! dis-je d’un ton un peu blasé, en me reculant encore un peu.
— J’aime que tu me baises, ajoute-t-elle dans un souffle.
— Et quoi d’autre ?
Après un temps.
— J’aime quand tu me caresses… j’aime quand tu me pelotes les nichons… j’aime quand tu me bouffes la chatte… j’aime quand je te suce… j’aime quand tu m’enfonces les godes dans le con et dans le cul… j’aime quand tu me les fais garder toute la journée… j’aime quand tu les tripotes… j’aime quand tu me branles… j’aime quand tu me sautes… et ...
... j’aime aussi quand tu m’encules…
— Tout ça ! Hé bien dis donc !
À vrai dire, elle n’a plus besoin d’encouragement, les vannes sont ouvertes.
— Oui tout ça. Vas-y, continue… encule-moi… je suis une salope… je suis une chienne en chaleur qui veut se faire limer… qui veut se faire défoncer… je suis une enculée… je suis ton enculée… n’arrête pas… encule-moi… tringle-moi le cul…
Elle poursuit sa litanie tandis que je laboure son cul. Tout en s’astiquant la moule, elle va au-devant de ce pieu qui lui ramone les entrailles. Je ne pensais pas aller si fort dans ce passage si étroit, mais elle est déchaînée. Après un dernier « Encule-moi », elle ne dit plus rien d’intelligible. Bientôt elle frissonne et est agitée de soubresauts. Son petit cul si largement ouvert se contracte spasmodiquement. Elle s’effondre à plat ventre sur le lit, tandis que je crache ma semence sur ses fesses et sur son dos. Nous sommes vidés. Après avoir nettoyé les dégâts, nous filons jusqu’à la gare. Durant le trajet je remarque qu’Anne a une démarche bizarre. Elle me souffle qu’elle a le cul en feu. Je lui réplique que c’est une suite logique après avoir eu le feu au cul. Une fois dans nos compartiments, nous nous endormons rapidement, sans même songer à dîner. Cette nuit nous ne gênerons, ni n’inspirerons nos voisins de couchette.