1. 25 juin - 29 juin


    Datte: 29/10/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, extracon, anniversai, voyage, train, Oral fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, journal, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... concierge qui nous remet les clés. Après avoir discuté un moment avec elle, nous montons. C’est un beau quatre pièces qu’Anne me fait visiter. Nous laissons nos bagages pour reconnaître le chemin de l’ENSB. Cerise sur le gâteau, l’appartement est du bon côté par rapport à Villeurbanne. Nous revenons ensuite à Lyon qu’Anne me fait découvrir. Nous déjeunons dans un bouchon. Je vois ma chérie se tortiller sur sa chaise. Elle me glisse à l’oreille que la nature fait valoir ses droits. J’accompagne ma compagne (ce qui est normal) aux toilettes du restaurant (ce qui est moins conventionnel) pour libérer ses orifices. Tandis qu’elle officie, je nettoie les instruments. Heureusement personne ne survient durant cette délicate opération. Je remets ensuite en place tout le matériel. Comme elle se prépare à regagner la salle, je lui demande une petite rétribution pour le service de nettoyage. Elle me donne un baiser. J’accepte cet acompte, mais lui précise que son soutien-gorge est le paiement que je demande. Elle reste immobile quelques instants, aux aguets. Le film brusquement s’accélère. Elle déboutonne son chemisier, le quitte, retire et me donne l’objet demandé, remet son chemiser, me redonne un baiser et remonte l’escalier. Tout a été si vite que j’en reste un moment interdit. Je commence à la suivre, quand je m’aperçois que je vais entrer dans la salle avec son sous-vêtement à la main. Je le glisse dans ma poche qui heureusement mérite son nom de profonde. C’est l’estomac ...
    ... largement lesté que nous sortons du restaurant. Nous baguenaudons dans la ville. De temps à autre, d’une main discrètement indiscrète, je vérifie le positionnement du matériel.
    
    Nos pas nous ramènent à mon futur domicile d’étudiant. À peine rentrée, Anne se suspend à mon cou et m’embrasse à pleine bouche. Le peu de vêtements qu’elle porte vole, sauf, bien sur, ce qu’elle ne peut retirer sans mon secours. Quand je me décide à la décadenasser, je laisse en place les deux godes que je manipule avec entrain. Nous continuons nos petits jeux dans la salle de bain avant de rejoindre une chambre. Anne est suffisamment chaude pour ne plus désirer de longs préliminaires. Je la renverse sur le lit et pénètre dans son nid si doux. Elle croise ses jambes autour de ma taille. Mes couilles viennent heurter ses fesses à chaque coup que je lui assène. Heureusement ses gambettes sont solidement nouées, autrement j’ai l’impression qu’elle serait propulsée au milieu du lit. Je ralentis un peu pour m’occuper de sa poitrine. Elle a dû récupérer d’hier soir, car elle ne proteste pas. Je sens qu’il me faut faire une pause. Je me dégage doucement. Les mains toujours ancrées à ses seins, des lèvres, de la langue et même des dents, je m’occupe de son petit bouton. Anne est complètement partie. Elle soupire, gémit, râle. Je la fais mettre à quatre pattes et replante mon dard dans sa chatte béante. Un certain nombre d’allers et retours plus tard, je sors complètement et glisse un peu plus haut. J’écarte les ...
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