25 juin - 29 juin
Datte: 29/10/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
anniversai,
voyage,
train,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
journal,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... et commence à aller et venir le long de l’axe qui la transperce. J’ai une vue superbe sur son cul. Je tends les mains et m’en empare. Je caresse, pétris, écarte, rapproche les deux adorables globes. Dominique doit s’occuper de son bouton. De temps à autre, je sens ses doigts déraper jusqu’à ma queue. Alors que je lui pelote toujours les fesses, mon regard est attiré par son œillet. Il semble me faire de l’œil. Je vais récupérer du lubrifiant dans la vallée inondée. Je commence à titiller sa porte étroite. Elle est déjà bien partie, aussi la résistance est-elle faible. Tout mon index disparaît. Je ne sais si la mise en route du deuxième cylindre améliore le rendement, au moins ne le ralentit-elle pas. Elle prend son pied, un peu plus discrètement que la dernière fois. Cela dispensera Gwendoline de ses commentaires oiseux et les voisins d’inquiétudes. Quoique je ne pense qu’ils s’inquiètent beaucoup. Plutôt un peu de jalousie chez certains ou certaines. Après avoir soufflé un peu, elle se dégage, retire à nouveau le préservatif qui garnit ma virilité et la reprend dans sa bouche. Elle ne lâche plus le morceau avant de lui avoir fait rendre les armes. Un gros dodo sans problèmes achève cette journée.
Après avoir souhaité bon anniversaire à Gwendoline, Dominique et moi prenons le chemin du travail. À peine arrivés à la bibliothèque, le téléphone sonne. C’est Anne. Elle m’annonce que son amie du Mexique a pu avertir sa concierge à Lyon. Il faut cette fin de semaine faire un ...
... saut sur place, car après cette dernière retourne dans son Portugal natal pour les mois de juillet et d’août. Je dois la voir elle plutôt que sa remplaçante. Je suis pris de court. Je lui fais de nouveau part de mes scrupules à aller squatter chez des personnes que je ne connais pas. Elle balaie mes objections. Il est maintenant trop tard. Après tout je ne vais pas me plaindre. Je lui demande si elle peut, malgré les préparatifs de la fête, s’occuper de me prendre un billet Lyon-Paris pour demain. Elle accepte.
Le midi je vais récupérer les photos de l’avant-veille, tandis que Dominique va faire de nouvelles emplettes liées à la soirée. Après le travail, tandis que Dominique file rejoindre sa mère, je vais chez moi pour chercher Gwendoline, avec pour mission de ne pas arriver trop tôt, afin que le plus possible d’invités soient là pour lui faire la surprise de l’accueillir. À mon arrivée, elle est déjà sur le pied de guerre. Moi qui me demandais quand lui offrir mon présent, je trouve là une excellente occasion. Je fais d’une pierre deux coups. D’abord et surtout j’ai l’occasion de le faire dans le calme, entre quatre yeux et ensuite cela me permet de retarder notre départ sans qu’elle se doute de quoi que ce soit et sans qu’elle trépigne d’impatience. Visiblement le cadeau lui fait plaisir. Le poème que j’y ai joint, même s’il n’a rien d’un chef-d’œuvre immortel et est très éloigné de Ronsard, la touche beaucoup.
Ce modeste présent,
Pour celle que j’aime tant.
Tous ...