25 juin - 29 juin
Datte: 29/10/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
anniversai,
voyage,
train,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
journal,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... avant.
Je descends de ma tablette. Je plie un peu les genoux et lui prends la cuisse pour la lever jusqu’à ma hanche. Elle comprend l’invite. Elle se suspend à mon cou. Je me redresse, guidant ma virilité vers son sexe offert. Je l’envahis. Elle noue ses jambes dans mon dos. Je passe les mains sous ses fesses pour l’aider à se soutenir. Nos lèvres se soudent, nos langues se trouvent. Je fais quelques pas. Elle se retrouve dos à la cloison. Je la pistonne ardemment. Elle ne s’en plaint pas, au contraire. Nos bouches se séparent. Sa respiration est haletante. La mienne aussi d’ailleurs. Elle se mord les lèvres pour ne pas laisser échapper de bruit trop révélateur. De toute façon si le compartiment voisin n’est pas vide, la manière dont la cloison est secouée ne laissera que peu de doute à son occupant sur la façon dont nous nous occupons pendant le voyage. Je poursuis ma cavalcade rythmée. Elle étouffe difficilement un cri quand le plaisir arrive. Elle se relâche et se fait plus lourde. J’ai du mal à la tenir. Je la porte sur le lit, toujours fiché en elle. Je me prépare à repartir à l’assaut. D’une voie éteinte elle murmure :
— Tu m’as tuée.
— Je vais aggraver mon cas, je vais récidiver.
Agenouillé devant le lit, je mets ses jambes sur mes épaules. Ses tétons sont toujours gonflés et tendus. Elle ne peut retenir un gémissement quand mes doigts se referment dessus. Je reprends le triture-nichon que j’avais interrompu pour pouvoir la soutenir. Je frôle, caresse, ...
... pétris, pince, fais rouler, étire ses seins offerts. Ses lèvres laissent échapper un râle qui ne s’interrompt que lorsqu’elle reprend son souffle. Je complète de temps à autre son traitement de quelques coups de queue. J’en augmente progressivement la fréquence et la puissance. Elle commence à partir. Quand elle prend son pied, son râle se transforme en cri qu’elle ne réussit que partiellement à étouffer. Après être restée quelques seconde inerte, elle retire mes mains de ses seins :
— Arrête. Laisse-les tranquilles. Ils n’en peuvent plus.
Elle se dégage et s’allonge. J’en profite pour retourner faire un brin de toilette. En regardant l’heure, je m’aperçois que cela fait près de deux heures que je suis entré dans sa cabine. Et pendant les trois quarts de ce temps, sa poitrine a été l’objet de ma sollicitude. Je comprends qu’elle ait crié grâce et demandé que je cesse de m’en occuper. Quand je reviens dans sa cabine avec sa valise, Anne est toujours étendue. Elle s’assoit quand je rentre. L’œil brillant elle dit :
— Je suis morte.
— C’est normal, puisque tout à l’heure tu m’as dit que je t’avais tuée.
— J’espère que me tueras encore à l’avenir, mais là je n’en peux plus. Pour l’instant je dois laisser mes seins souffler.
— Voila ta valise. Je prendrais volontiers la mienne en échange.
Elle attrape la valise qui est sur son lit pour me la tendre. Les fermetures étant débouclées, elle s’ouvre. Tout le contenu se répand sur le sol. Au milieu de mes effets répandus sur le ...