1. Dernière nuit militaire


    Datte: 25/10/2020, Catégories: uniforme, grosseins, fsodo, Auteur: Jim Ouest, Source: Revebebe

    ... de chemise de nuit. Elle se rallongea tout aussi vite, mais cette fois nue, sur le ventre, en ne remontant le drap et la couverture que jusqu’au creux de ses reins.
    
    — J’ai trop chaud, reprit-elle. La cheminée chauffe bien.
    — J’en suis heureux, répondis-je, le sourire en coin.
    
    Nous rigolâmes quelques instants, puis elle ferma les yeux et sembla s’endormir à la chaleur du feu qui était à moins de deux mètres de nous. Son dos était ainsi éclairé par les flammes qui coloraient magnifiquement sa peau déjà un peu mate. Je le parcourus de quelques baisers tendres, puis me rallongeai à ses côtés, la contemplant.
    
    — Elle n’avait pas l’air si méchant, cette araignée… relança Katia. Elle est partie ?
    
    Pour toute réponse, ma main repassa sous les couvertures pour retrouver sa jambe. Elle remonta doucement tout en massant délicatement chaque muscle qu’elle parcourait. Je la fis s’attarder un peu sur sa fesse droite, ce qui la fit se cambrer furtivement. Ma main chaude émergea des couvertures pour parcourir son dos pendant de longues minutes. Les pressions que l’araignée exerçait semblaient réchauffer d’une autre façon mon sergent adoré car sa respiration se faisait plus forte et elle bougeait les hanches régulièrement.
    
    Je sortis de ma léthargie causée par le spectacle des flammes et par la douceur de sa peau. Je fis descendre l’araignée du château vers des douves que d’autres parties de mon corps ne connaissaient que trop bien. Ma main arriva dans le creux de ses reins pour ...
    ... remonter à l’assaut de ses fesses charnues. Mes caresses firent descendre la couverture jusqu’au milieu de ses cuisses et remontèrent jusqu’au sommet de son postérieur, réchauffé désormais par les flammes. L’araignée malaxait désormais chacune des deux fesses, tour à tour, faisant monter en moi autant de plaisir que de désir. J’étais au garde-à-vous contre mon sous-officier préféré.
    
    — Il y a des serpents dans le château, aussi ? demanda-t-elle, le sourire en coin à son tour.
    — Ils sont encore plus gentils que les araignées, gente dame.
    
    Ma main quitta ses fesses pour descendre en haut de ses cuisses, cherchant à explorer désormais son intimité. Elle l’accepta de suite et déplaça l’oreiller sous son bas-ventre, rendant désormais ses fesses plus hautes et, accessoirement, plus grosses. Mes yeux parcoururent à leur tour les rondeurs de mon sergent, attisant un autre feu que celui de la cheminée. L’araignée caressa le haut des cuisses et la vulve de mon invitée avant d’y introduire le pouce qui lui servait de patte. Allant de plus en plus loin et plus vite, elle arrachait à sa proie des gémissements de plus en plus forts. Quelques minutes plus tard, mon pouce laissa la place à mon majeur et à mon annulaire pour se retrouver sur la raie de ses fesses.
    
    — Mmm, gémit-elle. Elle est très coquine, cette araignée…
    — Tu veux que j’arrête ?
    — Naaaannn, c’est très bon, confia-t-elle en chuchotant. Dis-lui qu’elle est la bienvenue ici aussi.
    
    Mon pouce se posta derechef sur son ...
«1234...7»