Chauds, chauds, chauds les tropiques - Histoires de Sexe

Chauds, chauds, chauds les tropiques

... les caresses les plus suggestives.

J’ai lancé l’offensive :

— Il est royal ce sexe ! Si tu avais la chance de participer, qu’est ce que tu aimerais en faire ?
— Oh ! Oui, il est gros… Puisque j’ai le tien pour moi seule, dis-moi comment tu veux que je m’en occupe maintenant.
— C’est ton plaisir qui compte, pas le mien ! C’est toi qui décides. Tu aimerais faire quoi avec ce beau mâle ?

Je sentais à la pression de plus en plus forte que son pubis exerçait, aux mouvements de son bassin et à sa voix de plus en plus rauque, que Catherine souhaitait revivre les sensations du plaisir extrême qu’elle avait connu avec un autre. Elle reprit, la voix étranglée :

— Dis moi… ça m’excite quand c’est toi qui imagines… dis moi.
— Cette queue, tu aimerais la toucher, l’avoir dans ta main réellement.
— Oui… oui.
— Et pas seulement dans ta main ?
— Je la voudrais… serrée entre mes seins.
— Et dans ta bouche, tu aimerais ?
— Oui… et aussi… je la branlerais pour voir le sperme jaillir sur ma poitrine.
— S’il éjacule, il ne serait plus très opérationnel pour la suite.
— J’aimerais qu’ils soient plusieurs… pour me faire jouir… un qui me pénètre lentement… très lentement, et les autres qui se masturbent… pour les voir éjaculer quand… je jouirais.
— Étant une femme sensuelle, je sais que tu le trouves à ton goût, et surtout avec cette érection monumentale. Il te donne des envies bien normales… Tu aimerais qu’il te baise, c’est évident… Il ressemble à Cyril ; est-ce qu’en ...

... brousse tu aurais eu envie de baiser avec lui ?
— C’était un beau garçon…
— Tu penses plutôt… un beau mâle.
— Bien sûr, c’est à ça que je pense !
— Il avait sûrement une queue aussi belle que celle-là ; je suis persuadé que tu aurais aimé.
— Peut-être… oui… sûrement… Oui, j’aurais aimé… comme toute femme.
— Si tu en avais eu l’occasion, est-ce que tu aurais aimé baiser avec lui ?
— Oui… oui… J’aurais… j’aurais aimé, je l’aurais attiré vers moi pour qu’il me pénètre profondément… Je… je vais bientôt jouir…
— Est-ce qu’il avait une queue plus belle que celle que tu vois sur l’écran ?
— Il avait… il avait… pas une bite, non… un tronc énorme, énorme, massif, doux… Je n’ai pas pu résister… Il me l’a enfoncé dans le sexe, facilement… ça glissait tout seul… tout seul… J’étais mouillée, n’importe quel sexe aurait pu me pénétrer, j’avais envie d’une queue raide… Je jouis… je jouis…

Quand les gémissements et les cris de plaisir de Catherine ont cessé, elle est restée allongée, la tête cachée dans ses bras. Je sentais qu’elle n’avait pas envie de me regarder ni de me parler avant d’avoir digéré ce qu’elle venait de lâcher malgré elle. Peut-être cherchait-elle une explication pour revenir sur ses propos, mais je ne lui en ai pas laissé le temps. Je lui ai dit comment je l’avais surprise en la voyant accidentellement à travers les planches de la remise, en train de baiser avec Cyril.

— Tu savais, et tu ne m’as rien dit ?
— Je savais, mais je ne voyais pas comment aborder le ...