Chauds, chauds, chauds les tropiques
Datte: 24/10/2020,
Catégories:
fh,
couleurs,
couple,
extracon,
Oral
pénétratio,
confession,
occasion,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Alex2, Source: Revebebe
... je travaillais habituellement de m’accompagner. Pour le remplacer, on m’avait adjoint Cyril, le fils d’un haut fonctionnaire de l’administration ivoirienne avec laquelle nous avions négocié ce contrat d’étude. Sa mère étant française, il avait la double nationalité et, envisageant de travailler en France, il avait manifesté le souhait d’avoir une expérience professionnelle avec des cadres européens.
La mission se déroulait sans problèmes, sans heurts d’aucune sorte, ni sur le site ni avec ce stagiaire. Pendant tout le séjour, Catherine et moi avons fait l’amour comme jamais. Après dîner, il n’y avait strictement rien à faire, hormis travailler ou lire. Nous nous couchions très tôt, et tous les soirs c’était la fête. Très tôt le matin elle se pelotonnait contre moi comme une tendre tigresse pour me demander un petit bonheur supplémentaire. Après le déjeuner, lorsque mes occupations me retenaient à la case, elle m’attirait dans la chambre pour voler à mon travail le temps d’une rapide étreinte avant que je ne me replonge dans mes problèmes techniques. Notre seul frein était la présence de Cyril, témoin discret, mais probablement conscient de nos débordements amoureux. Je ne sais si les villageoises appréciaient les métis, mais Cyril, très bel homme, ne devait pas avoir beaucoup de problèmes pour trouver là de quoi satisfaire ses instincts de jeune mâle. Il lui était arrivé de s’absenter après le travail pour aller, disait-il, dîner au village et nous ne le revoyions que le ...
... lendemain matin…
La veille de notre retour, pour les dernières vérifications techniques, j’avais donné rendez-vous au bord du fleuve aux ouvriers embauchés au village voisin. Cyril ayant son rapport de stage à rédiger, je lui avais laissé son après-midi et j’avais pris la décision de sortir seul. Ces contrôles devaient m’occuper jusqu’à la nuit tombante, mais les relevés ayant été remarquablement bien exécutés par mon prédécesseur, il s’est trouvé qu’une heure après j’avais fini les mesures. Ayant libéré les ouvriers, je pouvais rentrer à la case.
Sur le chemin du retour, en quittant la berge du fleuve, j’aperçus une femme magnifique qui se baignait. Elle devait être assez jeune, une poitrine ferme, un corps svelte et sensuel. Elle me faisait face à quelques dix ou vingt mètres, me souriait et ne semblait nullement gênée d’exhiber ainsi sa nudité. Vivant à côté de Catherine, j’avais les sens perpétuellement stimulés ; l’apparition brutale de cette beauté m’a fait bander instantanément. Nul doute que quelques années auparavant, j’aurais profité d’une telle rencontre fortuite pour lui proposer d’agrémenter notre journée par une distraction que ces jeunes femmes apprécient très généralement. De plus, ce tronçon du fleuve était désert et absolument majestueux, avec une plage de sable idéale pour accueillir des ébats amoureux. Mais c’était le corps de Catherine qui m’obsédait, et j’avais hâte de la retrouver.
Après quelques centaines de mètres sur le chemin du retour, mon ...