1. Chauds, chauds, chauds les tropiques


    Datte: 24/10/2020, Catégories: fh, couleurs, couple, extracon, Oral pénétratio, confession, occasion, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Alex2, Source: Revebebe

    I
    
    Pendant les premières années de notre mariage, Catherine et moi n’avons pas mené une vie de couple très normale. Mon métier d’ingénieur hydraulicien spécialiste des fleuves tropicaux m’obligeait à me trouver plus souvent en Afrique qu’en France. Catherine, de son côté, ne voulait pas se couper du monde universitaire où elle entamait sa vie professionnelle. Avant de la connaître, mes séjours en Afrique duraient plusieurs mois. J’en passais une grande partie en brousse, coupée par quelques jours dans une grande ville pour l’approvisionnement et les relations avec les clients. Je profitais également de l’extrême disponibilité et du talent des beautés locales pour exploiter le trop-plein de libido accumulé pendant plusieurs semaines de diète.
    
    Après mon mariage, loin de Catherine, je ressentais un manque sentimental et physique que je ne parvenais pas à évacuer. Les plaisirs exotiques ne m’intéressaient plus et je m’ennuyais à mourir. Je ne pensais qu’à elle et au moment où je sentirais son corps, comme une liane douce et souple, emprisonner le mien. Nos retrouvailles étaient fantastiques. Bien que je n’aie pas été son premier amant, elle était relativement inexpérimentée quand nous nous sommes connus, mais le désir physique développe des instincts qui, en ce qui concerne Catherine, ont largement remplacé les plus savantes pédagogies. Nous faisions l’amour avec tendresse, avec volupté, quelquefois avec une violence qui nourrissait nos désirs mutuels et nos fantasmes les ...
    ... plus fous. Elle devint la plus incomparable des maîtresses.
    
    Après quelques années, mes missions hors de France n’étaient plus très longues ; quelques semaines en général, mais très fréquentes. Il a fallu cependant patienter quatre ans pour qu’enfin il fût possible à Catherine de m’accompagner, les conditions matérielles d’un de mes séjours en Afrique le permettant.
    
    C’était une mission de trois semaines en Côte d’Ivoire. Nous avions passé quelque temps à Abidjan avant de partir une dizaine de jours en pleine brousse afin de compléter et contrôler les travaux exécutés précédemment par un autre ingénieur. Le tronçon du fleuve sur lequel je devais travailler se situait loin de toute ville de quelque importance. Il avait été prévu pour les cadres européens expatriés un logement près d’un village, à proximité du site d’études avec un accès facile à pied, aucune piste carrossable n’existant. La maison où nous vivions et travaillions était une case de brousse en bois, anciennement occupée par des exploitants forestiers. Elle était assez confortable, avec un grand séjour-salle à manger qui nous servait également de bureau et de salle de dessin, et deux chambres. La seule construction en dur était un vaste espace bétonné, aménagée en salle d’eau avec quatre cabines de douche. Des réservoirs alimentés par les eaux de pluie chauffées au soleil étaient installés sur le toit.
    
    En raison de la simplicité des relevés à exécuter, j’avais pu dispenser le technicien européen avec lequel ...
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