Chauds, chauds, chauds les tropiques
Datte: 24/10/2020,
Catégories:
fh,
couleurs,
couple,
extracon,
Oral
pénétratio,
confession,
occasion,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Alex2, Source: Revebebe
... d’un indiscutable appétit, qu’une intervention étrangère pouvait pimenter nos ébats amoureux de plaisirs imprévus et que par conséquent mes penchants n’étaient pas sexuellement aussi atypiques que mon attitude avait pu le laisser prévoir.
Les circonstances de cette aventure, je voulais les apprendre de sa bouche même, sans que la gêne ou la pudeur ne s’interposent comme un filtre déformant la réalité qui en atténuerait certains aspects. Je supposais que la vérité délivrée à l’état brut effacerait cette impression d’avoir été si douloureusement exclu d’une partie de sa vie ; à défaut d’avoir été un acteur de cette aventure, j’aimerais en devenir un complice.
Après avoir envisagé d’aborder cette question à froid, je me résolus à attendre que le hasard me vienne en aide. Cette attitude patiente aboutit une dizaine de jours après notre retour.
III
C’était un vendredi soir. Nous étions rentrés tard à la maison. Ayant machinalement allumé la télévision, nous nous sommes trouvés devant un film pornographique. Bien que les scénarios soient d’une indigence totale, certains films de ces productions sont très efficaces pour émoustiller tout individu normalement constitué, homme ou femme, bien que très généralement les femmes s’en défendent, assez hypocritement d’ailleurs. Parmi les « acteurs », la présence d’un métis qui pouvait rappeler à Catherine son amant africain fut l’élément déterminant. Excités par les scènes d’accouplements qui défilaient sur l’écran avec toutes les ...
... positions et situations imaginables, très naturellement nous avons imité les figurants, et lentement j’ai amené Catherine dans l’état d’excitation et de totale disponibilité que je souhaitais, espérant que son désir et ses fantasmes subjugueraient sa raison.
Son regard ne quittait pas l’écran ; elle devait avoir l’impression que la verge énorme, tendue et luisante était celle de Cyril et que son ventre était en train de l’enserrer. Alors il s’ensuivit un dialogue comme celui que je souhaitais. Transportée dans un univers fantasmatique exempt du moindre tabou, Catherine ne pouvait empêcher que les désirs normalement enfouis au plus profond de son inconscient n’émergent pour venir nourrir l’attente du plaisir, puis le plaisir lui-même. Pour elle et moi – comme pour la plupart des couples – il nous est difficile ou impossible de réaliser nos fantasmes ; nous les vivons en paroles au cours des rapports amoureux, illustrés par les évocations les plus crues, avec plaisirs variés à partenaires multiples. Quand nous parvenons à maîtriser nos pulsions, ce jeu peut durer assez longtemps pour que toutes les digues cèdent et que le flot de nos envies, qui jamais n’auraient été formulées, emporte toutes les barrières édifiées par la pudeur. Nos désirs s’expriment alors librement, sans retenue.
Catherine était de plus en plus excitée par les performances du métis dont le sexe, objet de nombreuses prises de vue, faisait preuve d’une infatigable efficacité et auquel étaient prodiguées ...