Chauds, chauds, chauds les tropiques
Datte: 24/10/2020,
Catégories:
fh,
couleurs,
couple,
extracon,
Oral
pénétratio,
confession,
occasion,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Alex2, Source: Revebebe
... !
— Il y a des plaisirs qui sont du domaine des fantasmes, mais on aimerait ne pas les censurera priori dans la vie réelle.
— C’est vrai ; et en matière de plaisirs, rien n’est exclu. Tu parles de façon très gourmande, pour toi.
— On peut aussi bien envisager une situation symétrique… en ta faveur.
— C’est peu vraisemblable : les femmes sont plus pudiques et plus réservées que les hommes. Mais si tu vois que ça se présente, fais-moi signe.
— Compte sur moi… à charge de revanche.
Je me suis trouvé cet après-midi-là dans la situation de l’observateur indiscret. Probablement excité par le souvenir du superbe corps d’ébène surgi de la rivière, j’ai regardé à travers les fentes des planches de bois. Je voulais voir si Catherine faisait la sieste et savoir si je pouvais lui faire la surprise de venir me glisser contre elle. Elle était allongée, nue sur le lit, somnolant les yeux mi-clos. Ses mains vagabondes allaient et venaient, passant et repassant sur son corps, s’attardant çà et là, sur sa poitrine, entre ses cuisses… Probablement cette lourde chaleur tropicale, qui pesait sur nos sens et les stimulait, avait fait naître mon envie de la voir submergée par le plaisir solitaire que, me semblait-il, elle recherchait. J’étais cloué sur place, l’œil rivé à l’interstice qui se trouvait juste au-dessus de Catherine et qui me permettait de voir la zone de la chambre où se trouvait le lit, laissant le reste de la pièce dans la pénombre ou hors de mon champ de vision.
J’étais ...
... subjugué par la lascivité qui émanait de son corps magnifique. Quelques secondes avaient suffi pour que je sente renaître une érection irrépressible. J’étais partagé entre le désir d’aller la rejoindre et l’envie de continuer à admirer ce spectacle de braise. À un moment, je crus qu’elle allait jouir car j’ai entendu s’échapper au milieu de ses soupirs des paroles incompréhensibles entrecoupées de petits gémissements.
Ce que je vis alors et ce qu’il advint ensuite fut un choc fantastique. Devant le lit apparut Cyril, intégralement nu, le sexe en érection. J’ai compris en un éclair. L’attitude de Catherine pendant ces derniers instants et ses gémissements avaient été provoqués par l’irruption de Cyril dont la nudité arrogante avait à coup sûr eu pour effet de sublimer ses sens. Le manque de vision de l’ensemble de la chambre ne m’avait pas permis de voir à quel moment il était entré.
Il s’est avancé vers le lit sans hésitation, convaincu de l’adhésion totale de Catherine aux plaisirs que leurs corps exigeaient. Il n’existait plus aucune barrière de quelque nature que ce fût entre leurs mutuelles envies qui conduisaient Catherine, après l’avoir désiré et peut-être provoqué, à profiter avidement de cette situation. Pour moi, c’était douloureux et stupéfiant ; pour elle, c’était une situation incontrôlable et probablement inespérée. Un soir de confidences chaudes, elle m’avait avoué que lors de mes absences prolongées il lui arrivait d’évacuer ses pulsions insatisfaites par ...