1. Chauds, chauds, chauds les tropiques


    Datte: 24/10/2020, Catégories: fh, couleurs, couple, extracon, Oral pénétratio, confession, occasion, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Alex2, Source: Revebebe

    ... Je dois veiller à respecter un équilibre difficile. Patiente une journée.
    
    Le lendemain soir, elle m’a donné le texte du deuxième épisode de son aventure, que je me suis empressé de lire sans délai. Allongée au lit, près de moi, elle attendait impatiemment la fin de ma lecture.
    
    V
    
    VI
    
    Elle s’est arrêtée. Longtemps, nous nous sommes regardés sans bouger. Elle savait que j’allais faire les premiers gestes, elle les attendait. Je l’ai pénétrée sans douceur, mais avec passion. La rigidité absolue de mon pénis et la rapidité incontrôlable de nos jouissances simultanées ont dû lui rappeler sa première étreinte avec Cyril. Elle savait que je n’étais plus l’homme trompé mais au contraire j’étais partie prenante de sa sexualité débordante. Elle était consciente que la description des sensations extrêmes qu’elle avait connues avec un autre ne me faisaient plus souffrir mais stimulaient mes envies de la posséder. Elle a aimé et a été excitée autant que moi par ses phrases sans détours délivrées avec une impudeur gourmande. J’ai alors réalisé qu’elle avait mis mon désir pour elle sous sa seule dépendance.
    
    Après s’être remise des remous dévastateurs de son orgasme, elle a continué :
    
    — Sans ta demande et ta curiosité un peu perverse, j’aurais tout gardé pour moi ; mais puisque tu l’as voulu, demain tu connaîtras la suite, car il y en a une qui sera aussi la fin.
    — Je ne peux pas attendre la fin : je la veux tout de suite, en paroles.
    — C’est précisément en pensant à ce ...
    ... que je vais te raconter que je préférais écrire. C’est, pour certains passages, beaucoup plus gênant à relater qu’à en noircir une page d’écriture… Cette complicité nouvelle me conduit à céder à ton souhait. Tu m’aideras…
    
    La veille de notre retour en France, tu devais assister à une réunion après le repas pris avec les ingénieurs locaux à l’hôtel Intercontinental d’Abidjan, repas auquel j’avais été conviée par politesse, mais auquel Cyril n’assistait pas. Quelques minutes après votre départ, le temps de prendre un autre café, et au moment où j’allais partir moi aussi, Cyril est arrivé et a posé discrètement sur la table la clef d’une chambre de l’hôtel ; il m’a simplement dit qu’au cas où je ne pourrais pas ou ne voudrais pas le rejoindre, de remettre sans commentaire la clef à la réception. Lui-même, a-t-il ajouté, serait dans la chambre d’ici un quart d’heure, le temps que je prenne une décision. J’avais là, et une dernière fois avec cet homme, l’occasion d’aller bien au-delà des seules étreintes rapides que j’avais connues, et de découvrir avec lui d’autres plaisirs. Ce que j’avais pris comme une nécessité d’occuper mon après-midi à faire quelques achats n’a pas résisté à la perspective de consacrer sereinement plusieurs heures à me donner du plaisir sans crainte d’être dérangée, de découvrir à nouveau ce corps superbe sans avoir l’impression de voler ces moments.
    
    Lorsque tu nous as surpris, Cyril et moi en train de baiser, j’avais un besoin physique, animal même, de ...
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