Estelle
Datte: 22/04/2018,
Catégories:
fh,
fffh,
hotel,
préservati,
pénétratio,
Humour
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... doucement en posant un doigt sur ma bouche. Profitons, simplement…
Et, tranquillement, elle se mit à ouvrir mon pantalon, puis y glissa une main pour venir caresser mon sexe.
— Hmmm, belle pièce ! fit-elle en passant sa langue sur ses lèvres.
Si c’était possible, je bandais encore davantage.
— Ici, vraiment ? demandai-je toutefois.
— J’ai dit à mon chef que je restais au bar… répondit-elle en souriant et en haussant les épaules.
— Mais, s’il y a des clients qui… commençai-je en regardant autour de nous.
— Ne vous inquiétez pas…
Superbe ! Elle continuait à me vouvoyer…
— Nous sommes tout de même un peu cachés, continua-t-elle, et puis il n’y a pas grand monde au bar, à cette heure-ci…
— Bah moi je m’en fous, rétorquai-je quand même, c’est pas moi qui bosse ici…
— Ne vous en faites pas, répéta-t-elle.
C’était tout juste si elle me disait pas qu’elle avait l’habitude… Elle m’embrassa de nouveau, puis déboutonna son chemisier avec un brin de provocation. Elle portait une sorte de push-up qui relevait et comprimait ses seins, que je ne parvenais pas à ne pas déguster du regard. Elle se les caressa un court instant à travers le tissu de son soutien-gorge en me lançant des yeux lascifs. Puis elle replongea la main dans mon jean pour en extirper avec un murmure d’admiration ma queue toujours ultra raide, qu’elle se mit ensuite à branler férocement. De l’autre main, elle fouilla dans une des poches de son chemisier d’où elle sortit un préservatif.
Je ...
... commençais à me demander sérieusement si je m’étais pas fait bêtement couillonner par la nymphomane de service. Elle ouvrit la capote en me demandant avec un nouveau sourire :
— Parfum vanille, ça ne vous dérange pas ?
— Ah bah, c’est pas moi qui suce… répondis-je en me marrant.
Elle déroula la capote consciencieusement (mais avec un peu de difficulté… encore une capote trop petite… (hé hé !)) sur mon sexe incroyablement durci, qu’elle suçota ensuite quelques instants. Puis elle se redressa et, relevant sa jupe, m’enjamba pour venir s’agenouiller à califourchon sur mes cuisses, cherchant trop rapidement à mon goût la pénétration. D’un autre côté, c’était vrai que ma queue devait lui convenir et je pus m’assurer d’un doigt que la demoiselle était également plus que prête. Je la laissai donc écarter sa culotte et maintenir mon sexe bien droit sous ses cuisses, et elle s’y empala rapidement et profondément en gémissant avec quand même un peu de retenue.
Je plaquai mes mains sur ses fesses, par-dessus sa jupe relevée ; elle se mit à osciller frénétiquement du bassin en de rapides mouvements de va-et-vient. Elle avait sa tête contre la mienne et je sentais sur ma joue et dans mon oreille le souffle chaud de ses soupirs de plaisir. Elle haletait des « Aaaahh ! », des « Hmmm ! » et des « Oh ouiiii ! » à tout bout de champ. Et moi je me mordais les lèvres pour ne pas gémir.
Elle se calma quand même au bout de deux ou trois minutes à ce rythme et s’immobilisa avec mon sexe ...