1. Estelle


    Datte: 22/04/2018, Catégories: fh, fffh, hotel, préservati, pénétratio, Humour fantastiqu, fantastiq, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... plus c’était une partouzeuse… Je me marrai, et répondis :
    
    — Et encore, j’étais pas complètement à ce que je faisais…
    
    Elle regarda vers mon sexe, que j’avais toujours pas remballé.
    
    — Tu bandes encore ? Mais t’es un dieu, toi, c’est pas possible !
    
    En riant, je retirai doucement ma capote que je tendis à la jeune femme en la remerciant à mon tour. Elle la balança sous la banquette en disant que Fred nettoierait ça à l’occasion. Je me rhabillai plus ou moins puis bus une grande gorgée de cognac.
    
    — Bon, alors ? Tu es vraiment un fugitif ? me demanda-t-elle soudain, apparemment plus très inquiète.
    
    J’hésitai. Jusqu’où devais-je me confier à cette nana ? En même temps, au point où j’en étais…
    
    — Ouais, mais ça m’arrangerait bien que tu oublies mon existence…
    — Alors là tu rêves, après ce que tu m’as fait, je suis pas près de t’oublier !
    — Oui enfin ce que je voulais dire…
    — Je sais bien, ce que tu voulais dire, va. Et t’inquiète pas, je te trahirai pas.
    
    Je savais pas trop si je pouvais vraiment avoir confiance en elle, mais bon, de toute façon, j’avais pas franchement le choix.
    
    — Sinon, j’aurais aucune chance de te revoir, alors que là, je vais vivre avec cet espoir…
    
    Mais elle divaguait complètement ! C’était à se demander si elle avait pas reçu un sort de Bazouk…
    
    — T’exagères pas un peu, là ?
    — Ben n’empêche, je comprends que t’aies trois nanas dans ...
    ... ta piaule, là-haut… Quand je vous ai vus arriver, tout à l’heure, je me suis demandé quelles filles pouvaient être assez folles pour se partager un seul mec à trois, mais maintenant je comprends…(NdA : comment ça, j’en fais trop ?)
    
    Il y eut un court silence. Pensive, elle termina son verre. Je vidai également le mien.
    
    — Bon… eh ben à propos de mes trois nanas, je vais monter les retrouver… Je te laisse. Continue bien et merci d’avance de pas me balancer…
    — Ne vous en faites pas, monsieur Robert Legros ! me répondit-elle avec un sourire. Merci pour tout, pour le verre, pour les fleurs, pour la baise…
    — Mais je vous en prie, mademoiselle, tout le plaisir était pour moi…
    
    Je m’éloignai en lui lançant un dernier sourire.
    
    — Attends ! me fit-elle encore. Faites gaffe, à l’aéroport, si ce qu’ils ont dit est vrai, t’es recherché par tous les flics de France…
    — T’inquiète, rétorquai-je en me voulant rassurant. Pour ça, j’ai un plan.
    
    Elle m’adressa un dernier sourire ; je me dirigeai vers l’ascenseur.
    
    Mais tu parles que j’avais un plan ! J’avais pas l’ombre d’un plan ! Tout ce que j’avais, et qu’il m’allait falloir mettre sérieusement à contribution, c’était un génie… Et encore, pas un vrai… Déjà, il allait peut-être vraiment devoir s’occuper de ma bite qui débandait toujours pas. Remarque, d’un autre côté, c’était pas si mal, ça permettait des soirées intéressantes… 
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