1. Le Petit Suisse


    Datte: 17/10/2020, Catégories: h, hh, hplusag, jeunes, rousseurs, complexe, amour, strip, intermast, Oral 69, préservati, hdanus, hsodo, lavement, init, confession, nostalgie, Gay Auteur: M.Gentil, Source: Revebebe

    ... perla au bout de son méat. Je me déshabillai. Nos corps faisaient un tel contraste. Moi, tout blanc, du lait, avec mes taches et mes rondeurs, un genre d’Aphrodite pâle d’où émergeait comme par mystère de quelques fins poils roux un petit pénis un peu rouge et lui, un homme, achevé, avec un côté très « Gallimard », une tête et un corps d’homme de lettres triomphant, l’antiquaire. En plus très gâté par la nature.
    
    Son gros sexe maintenant fièrement tendu m’hypnotisait. Nos cuisses se touchaient la sueur me perlait aux tempes quand encore dans un souffle coupé je lui demandai de me masturber. À l’instant où il mit ses doigts épais sur mon petit pénis, je durcis. Une vague de chaleur mêlée de honte me submergea. Mais cette fois je ne bougeais pas. Je ne bougeais pas du canapé. Il ne lui fallut que quelques allers-retours où mon sexe disparaissait entièrement dans ses doigts épais et légèrement rugueux pour que je répande de grasses giclées de sperme dans ses mains et plus bas sur mon ventre pâle, légèrement marqué de traits rouges aux plissements de ma peau. Lentes. Lourdes. Il m’avait littéralement trait. Je m’écoulai. M’effondrai. J’avais l’impression de n’avoir jamais coulé comme ça. Il alla chercher du Sopalin en riant. Il m’essuya. Je m’activais pour le faire jouir à son tour, mais il dut aider de sa main pour jouir et répandre de fines giclées translucides à son tour. Je me contentais, de fait, pendant sa jouissance, d’embrasser son épaule en guise de soutien. J’étais ...
    ... un peu triste de n’avoir pas su le faire venir, mais tellement heureux d’être là contre lui.
    
    Les fois suivantes je le retrouvais directement chez lui. Baisers. Branlettes mutuelles. Rires et discussions sur tout et rien. Au bout du quatrième rendez-vous je me retrouvais à genoux sur sa moquette grise, en avant de sa lourde table basse en verre, lui les jambes écartées, assis devant moi sur son énorme canapé Habitat, très large, en tissu chiné gris. Moi, mes genoux râpaient sur sa moquette, j’avais mal et je savais que ma peau marquait, mais j’étais bien décidé à le sucer. Pas de télé. Des livres partout. Je sentais le soleil de l’été sur mes reins et mon cul.
    
    Après avoir lapé, baisé sa hampe puis son gland, j’enfonçai l’énorme andouillette de chair dans ma bouche. Au début elle tenait, enroulée sur elle-même dans ma bouche. Belle bouchée chaude. Rapidement elle se raidit et je dus la relâcher, pour mieux la reprendre, la lécher, gober son épais et large gland, lécher ses couilles. Ma bave inondait mon menton, mais je tenais bon. Je la risquais dans ma gorge. Je la gobais goulûment. À risquer les vomissements que je contrôlais difficilement. C’était bon, putain ! Je l’aurais accepté dans l’estomac. J’adorais ces sessions en gorge profonde. Même si elles me faisaient pleurer des yeux. Je découvrais que j’excellais en pipe.
    
    Parfois, à genoux sur le canapé, je sentais sa main venir saisir mon sexe, et surtout mes couilles rondes qu’il adorait et je sombrais dans un délire ...
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