1. Le Petit Suisse


    Datte: 17/10/2020, Catégories: h, hh, hplusag, jeunes, rousseurs, complexe, amour, strip, intermast, Oral 69, préservati, hdanus, hsodo, lavement, init, confession, nostalgie, Gay Auteur: M.Gentil, Source: Revebebe

    ... s’est éclairé quand j’ai ajouté, sûr de mon effet, que j’étais « seul ». Il a proposé aussitôt de laisser sa boutique à un collègue et m’a emmené boire un café dans un café loin des Puces, au Petit-Suisse, près du théâtre de l’Odéon, pas loin de chez lui. Nous nous sommes installés tout au fond du balcon du premier étage, à une table minuscule. Je l’avais choisie cette table pour éviter d’être visibles de la rue. Il était très expansif, mais ne tentait aucune manœuvre d’approche, restait dans l’équivoque. C’est moi qui ai approché mon genou du sien. Moi qui ai lentement appuyé. Il s’est contenté d’appuyer un peu plus son genou pour acquiescer. Nos regards se sont croisés. Il avait compris bien sûr. Nous étions un couple.
    
    Encore deux rendez-vous, deux cafés et l’achat d’une pâtisserie sur les quais et je proposai d’aller chez lui. Il faisait beau. Dès les escaliers je prenais sa main, je caressais sa cuisse furtivement. Je voulais le bouffer. Je voulais qu’il me bouffe. Un appartement lumineux du cinquième arrondissement. Une fois qu’il eut fermé la porte, j’ai jeté mon manteau et nous nous sommes embrassés. Ses mains parcouraient mon corps. Mais là encore, tendrement, je devais lui montrer mon consentement. Un amant attentif. Nous nous découvrions. Je me découvrais. Nous étions beaux tous les deux, les doigts entrelacés, fiévreux. Il m’a proposé un verre de vin blanc. J’ai accepté entre deux baisers et un rire.
    
    Puis arrivé au tiers de son verre, après avoir échangé ...
    ... des paroles sur l’école de Barbizon et la peinture des alentours de Paris au XIXe siècle j’ai voulu voir son corps. Je l’ai déshabillé. Il était beau. Un corps d’homme de cinquante ans. Avec des poils gris. Une peau très légèrement mate. Des grains de beauté. Un peu de ventre. Des bras et des cuisses larges. Des cheveux grisonnants ébouriffés autour d’un crâne qui commençait à se dégarnir. Un homme. Et puis, entre ses deux cuisses musclées, un gros sexe entièrement épilé. Large, avec un prépuce épais et long. Une espèce de concombre de mer, un genre d’andouillette magistrale. Nous nous sommes assis de nouveau, dans le bruit de nos respirations fortes.
    
    J’ai commencé à me masturber lentement. Il fit de même. Une chaleur inédite m’emplit. Troublé, je restai contre lui, à me toucher. Je demandai d’une voix coupée, difficile à sortir si je pouvais le masturber. Il répondit un « oui » étouffé. J’enroulai ma main autour de son sexe. Il était lourd. Pesant. Tellement beau. La bite ! Confortablement assis l’un à côté de l’autre, moi habillé, lui nu, nos corps collés, je commençai à le branler. Je descendais lentement son prépuce puis le remontais. Son sexe devint dur, mais restait doux au toucher. Son gland violacé était épais. Le pourtour très dessiné. Je remontais et descendais de mes doigts si pâles la chaussette jaune de son prépuce très lentement. J’étais aux anges. C’était ça que je voulais : « toucher la bite d’un homme ». Il poussa un soupir, puis deux. Une perle translucide ...
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